Bon, j’ai encore mis du temps, mais c’est fait !
A titre indicatif (base 100 % du temps passé) :
5% : constat des dégâts, tentative de récupération, et intégration (que c’est la cata),
20% : découragement (je redécouvre mon canapé et les programmes horriblement ennuyeux de la télé) parce qu’à ce stade j’ai pris la pleine mesure de mon manque de prudence, des conséquences connues et des risques encore potentiels, et l’ampleur du boulot pour tenter de revenir à la situation précédente,
30% : je retrousse les manches et décide de m’attaquer au problème,
5% : ah, c’est pas mal le canapé aussi,
30% : finalement je constate que ce n’est pas si catastrophique qu’imaginé (j’ai vraiment une bonne étoile), je reprend du plaisir avec Linux et du coup je peaufine à l’extrême, j’améliore le WIKI du Bottin
10% : je découvre de nouveaux trucs et j’améliore la sécurité de mon système
Bref, on est jamais trop prudent en informatique comme ailleurs.
L’adage « ce qui ne tue pas rend plus fort » s’est une nouvelle fois confirmé : j’ai encore appris énormément de choses.