L’installation d’un nouveau PC Linux Debian : bon voilà, encore une fois on s’est mis les mains dans le cambouis en testant de A à Z l’installation d’un système Debian linux :).
En « A » nous disposions d’une ‘ancienne’ (AMD 64 3200+ tout de même) carte mère avec une ancienne carte graphique (GeForce 7800GS en port AGP) récupérés après une précédente mise à jour de l’un de nos PC.
En « Z » nous avons un système Debian Linux tip top avec accélération graphique fonctionnelle (le minimum quoi), disques durs SATA montés en RAID 1 (pour la sauvegarde de nos données, vu notre expérience pas très heureuse comme beaucoup d’entre vous, tout systèmes confondus, hè hè :)), disque principal SSD pour la célérité (mais à priori pas la longévité aïe aïe aïe) que nous pouvons confirmer, graveur SATA, la ventilation (on manque pas d’air sur c’coup là :)) le contrôleur qui va avec, … jusqu’au KDE 4 et KompoZer sous lequel nous écrivons cet article ce mercredi soir venteux et légèrement pluvieux :).
Après une phase d’achat des « consommables » (boitier PC, disques, racks disques durs – ICY BOX, tant pis pour la pub, ils sont géniaux, …), début des opérations vendredi dernier en fin d’après-midi, pause puis reprise samedi fin de matinée pour s’achever en soirée par la mise sous tension. Comme d’hab’ çà ne marche pas du premier coup, donc on remet çà le dimanche matin et euuuuh … c’est là que çà se gâte :)).
Bref, on aborde le vrai souci de Linux … presque 7 ans que je suis sous Linux et je galère toujours autant à l’installer.
Bon, là y’a 10 000 personnes qui vont me répondre : nan nan chez moi c’est mieux, j’ai Ubuntu ou tartanpion, çà marche nickel en plus Debian c’est même pas libre (si si, on a lu çà, on donnera pas de noms :)) paraît que c’est pas libre parce que, écoutez bien : ils donnent un peu trop facilement la liberté d’accéder à des ressources non libres : mdr :)), bref j’avais plein de respect pour le gourou du libre, mais là je sais pas pourquoi … y’a une p’tite divergence d’opinion quant à la définition du libre … :)).
Bon revenons à nos moutons : à chaque fois j’ai le droit à un cas particulier (je doit être maudit du slip comme dirait Cédric :) qui fait que çà ne se passe pas bien.
Cette fois-ci c’était la partition ‘/usr’ qui était foireuse : autant vous dire que j’ai passé mon Dimanche à chercher pourquoi mon oiseau de malheur ne voulait pas démarrer, d’autant que l’oiseau n’était pas bavard : ‘Grub disk error’ ou un truc du genre.
Il faut aussi préciser le contexte : après un lavage de cerveau à l’ ‘ext4’ (l’intérêt le plus évident semblant être le gain de vitesse à la défragmentation horripilante des disques durs) sur le net, je m’y suis frotté et j’ai dû me résoudre à revenir à l’ext3. Là aussi y’a des gens qui y arrivent, tant mieux pour eux, mais sous Debian, l’installateur est anté-diluvien (il faut un noyau 2.6.28 au minimum) et il faut passer en ext3, formater vos partitions en ext4, y installer le système à la mano et prier pour ne pas avoir de problèmes ensuite car vos live CD sont en ext3 et ne peuvent lire de l’ext4 :)).
Bref, notre ‘/usr’ a été comme les autres partitions, formaté en ext4 puis comme le reste du disque, reformaté en ext3 et allez savoir, çà a été mal reformaté …
Autre problème : notre disque SSD sur lequel nous souhaitions démarrer (évidemment pour sa rapidité) passait dans l’ordre de démarrage après nos disques RAID1 (respectivement en sda et sdb), il se voyait donc affubler le doux nom de sdc1 (vu sous l’installateur Debian). Sous Grub (ancienne génération du fait de l’installateur Debian), son nom devrait donc être (hd2,0).
Vous l’aviez deviné ? Bravo ! Et bien : c’est devenu (hd0,0).
Bon là aussi, faut l’avouer, j’ai pas trouvé tout de suite :)) (la touche TAB aide quand çà marche bien :).
Le plus important n’est pas là. Finalement à force de persévérance on y arrive (faut juste changer de clavier de temps en temps :)).
Non, le plus important finalement c’est que l’on a là une machine à faire fuir les débutants les plus volontaristes.
Finalement si au lieu d’avoir un message ‘Grub disk error’ j’avais eut un extrait (filtré. Rien à faire des milliers d’autres messages sans importance) du /var/log/syslog de l’installateur (ce que j’ai fini par examiner tout à fait par hasard) : je trouvais la solution à mon problème dans les 5 min : « votre partition /usr ne peut être lue ». Point.
Finalement si au lieu d’avoir un disque qui ne démarre pas j’avais « attention : les seuls disques disponibles à la lecture sont /dev/sda, /dev/sdb, /dev/sdc, veuillez préciser svp le disque sur lequel se trouve le secteur de boot » ou un truc du genre, n’importe quel débutant au bout de 3 tentatives (en étant pas chanceux ;) trouvait forcément la solution.
Et pour clore les propositions : pourquoi faire 2 systèmes de numérotation ((hd0,0) pour sda1) quand un seul suffirait ?
En conclusion, il reste un p’tit travail de simplification de notre mascotte préférée : quelques messages bien ciblés pour aider l’utilisateur au démarrage manquent encore.
Personnellement j’ai beaucoup apprécié l’installateur Debian graphique, son outil de déboguage graphique, et en ce qui concerne Linux d’une manière général, l’énorme boulot déjà réalisé pour la simplification de ses composants (Xorg, la reconnaissance et la gestion des périphériques devenue quasi transparente dans de nombreux cas, …) et l’amélioration de son interface (KDE 4 a révolutionné le standard en la matière).
Si quelqu’un d’influent sur le démarrage et l’installation de Linux nous lit par hasard : svp donnez la parole à notre mascotte à l’installation et au démarrage quand çà ne va pas !
Le Bottin des Jeux Linux révision 46 : une petite révision. On en a une petite dizaine de plus sous le coude mais pas eut le temps de les saisir. L’installation de notre nouvelle config nous a phagocyté quelques jours, mais cà devrait nous faire gagner du temps pour la suite (compilations et installations plus rapides, plus besoin de changer de PC pour tester les gros jeux, …) lorsque tout sera en ordre (il nous reste encore quelques réorganisations dans les réseaux et dans les fichiers).
Désolé pour ses @$&ê$*# (auto-sensure) de popups : on arrête pas de le dire mais nous n’avons toujours pas pris le temps de résoudre ce petit souci (nouveau changement de compteur à prévoir ;) : çà va venir :).
La fréquentation du site est en légère baisse (-8%) : +665 visites pour la 1ère quinzaine de Septembre 2009, soit 24320 visiteurs depuis l’origine jusqu’à cette même date.
Cette révision apporte 9 nouveautés, ce qui nous fait un carnet d’adresses de quelques 1690 jeux Linux.
Nos coups de cœur de la période : Smash Battle, Connectagram, Unknown Horizons, Brikx, Gomoku.app,
Entrées : BiY boggle, DungeonHack, Connectagram, Blubbels, Cedega, Kiriki, FretsOnFireX (merci à The Linux Game Tome pour l’info et la copie d’écran ;), Smash Battle, Tile Digger, YaJaC, Ttt-game,
Changements de versions : House Of Mirrors, Gbrainy, Cgoban3, Brikx, Blob and Conquer, The Legend of Edgar, Privateer Ascii Sector, Snes9x-gtk, Iris2, Plee The Bear, NAEV, Worldforge Mason, SpringLobby, Wesnoth, Rezerwar, Xmoto (désolé, on s’étaient gaufré dans la précédente version),
Tests ou modifications de commentaires : BiY boggle, Connectagram, Celetania, Brikx, Blubbels, BlockOut2, Game ou Zevv Tetris, Kiriki, Gomoku.app, Mupen64Plus, Worldforge Mason, Zaz, Wine, Smash Battle, Unknown Horizons, Xye, Tile Digger, Iris2, YaJaC, Open Yahtzee, WordSlider, Worldforge Mason, SpringLobby, Ttt-game, World of Goo, OpenMW,
Suppressions : Aucune,