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Le 6 Février (suite)
Reprise de l’article précédent.
Traitement du message (avec dmesg) :
[ 297.675048] NVRM: Your system is not currently configured to drive a VGA console
[ 297.675053] NVRM: on the primary VGA device. The NVIDIA Linux graphics driver
[ 297.675055] NVRM: requires the use of a text-mode VGA console. Use of other console
[ 297.675057] NVRM: drivers including, but not limited to, vesafb, may result in
[ 297.675059] NVRM: corruption and stability problems, and is not supported.
[ 367.450214] fuse init (API version 7.23)
[ 570.396504] perf interrupt took too long (2518 > 2500), lowering kernel.perf_event_max_sample_rate to 50000
Une petite recherche sur le net m’emmène sur le forum de Archlinux (que je ne remercierai jamais assez, pour leur aide / conseils en ligne) :
« (…) let me take a guess you are booting UEFI?(…) »
« (…) My story is i got this error with uefi and grub2 and nvividia and a framebufer . it related to the console resoultion and the framebuffer i believe. nvidia is not supoorting a console framebuffer with UEFI booting. (…) »
C’est UEFI à tous les coups. J’ai testé ce truc (je ne sais même plus pourquoi) et l’ai désinstallé – enfin je croyais, car dans /boot/grub/grub.cfg je retrouve des lignes :
insmod efi_gop
insmod efi_uga
Il doit rester un ersatz d’un truc installé.
Direction Synaptic.
Je filtre sur « uefi » : tout est désinstallé.
Je filtre sur « efi » : idem.
Une petite recherche sur le net sur « efi_gop » : je tombe sur la page UEFI d’UBUNTU documentation :
« The Extensible Firmware Interface (EFI) or its version 2.x variant, Unified EFI (UEFI) is a firmware type that is widespread on recent computers, especially those more recent than 2010. It is intended to replace the traditional BIOS firmware that is prevalent on earlier machines. This page provides information about installing and booting Ubuntu using UEFI, as well as about switching between UEFI mode and legacy BIOS mode using Ubuntu. Warning /!\ Most modern computers support both UEFI mode and BIOS mode. (…) »
Ok, mes problèmes viennent (peut-être) de là.
Si j’interprète correctement, j’avais testé le démarrage en UEFI – le nouveau système de démarrage supporté par la plupart des PC récents (celui-là date un peu, je ne suis pas sûr, et n’ai pas envie de tester cela pour l’instant, j’ai « d’autres chats à fouetter » – même si j’adore les chats).
Je l’ai désinstallé (en désinstallant les paquets). Mais ce rigolo m’a laissé un petit souvenir dans grub2, et c’est lui qui me pourri la vie depuis quelques temps.
D’autre part, nvidia ne supporte pas simultanément le framebuffer (que j’utilise) et l’UEFI.
=> Dans /boot/grub/grub.cfg je supprime les lignes :
insmod efi_gop
insmod efi_uga
(en espérant qu’elles ne reviennent pas à la prochaine mise à jour d’un noyau, mais dans ce cas j’irais moi-même inspecter ces scripts)
J’en profite pour voir l’intérêt des autres modules chargés au démarrage qui se trouvent dans ce même fichier :
insmod ieee1275_fb
insmod vbe
insmod vga
insmod video_bochs
insmod video_cirrus
De la daube en boite là dedans :
insmod video_cirrus
Je n’ai pas de carte vidéo Cirrus Logic : du balais, je vire.
insmod video_bochs
Idem, je vire.
Concernant :
insmod ieee1275_fb
D’après ce que je lis sur Wikipedia concernant l’Open Firmware et ieee1275, et sur le Debian Bug report logs, ieee1275 est un firmware qui rempli plus ou moins les mêmes fonctions que le BIOS des PC, mais dans le cas présent c’est un module qui semble avoir un lien avec l’UEFI là aussi. Comme je ne suis pas certain, je commente (j’ajoute un « # » devant).
insmod vbe
VESA BIOS Extensions est le module qui permet d’accéder aux fonctions graphiques évoluées, notamment le framebuffer : je garde.
insmod vga
Je ne regarde même pas, je garde.
Nota : j’ai regardé sur mon autre PC. J’ai bien dans grub les mêmes lignes que ci-dessus (efi_gop, efi_uga, ieee1275_fb, vbe, vga, video_bochs, video_cirrus) etaucune erreur n’est signalée via le dmesg.
Seule différence : c’est un PC plus récent, avec une carte grapohique plus récente (mais ni une Cirrus ni une boch).
J’enregistre /boot/grub/grub.cfg et je redémarre pour voir si les messages changent (avant d’aller fouiner dans /etc/grub.d/).
Nota : avant le redémarrage, je me suis aperçu sous Synaptic que les paquets :
network-manager
network-manager-gnome
network-manager-vpnc
étaient installés, alors que j’avais déjà des problèmes de connexion avec ces paquets.
Je les ai désinstallé et au redémarrage suivant : plus d’internet :)
Direction le fichier /etc/resolv.conf :
nameserver 212.27.40.240
nameserver 212.27.40.241
Le contenu est correct (les DNS de Free).
Puis /etc/network/interfaces que j’ai paramétré de la sorte :
auto eth1
allow-hotplug eth1
iface eth1 inet dhcp
Redémarrage du réseau via : /etc/init.d/networking restart
Et là, youpii j’ai du réseau avecv le fichier /etc/network/interfaces correctement paramétré (en DHCP avec ma freeboix) !
Par contre toujours pas de réseau sur mon autre PC.
Je l’ai redémarré : idem
Pour tant il y a du réseau et il communique bien (je l’ai testé via un ping de l’autre PC vers celui-ci).
Je vais redémarrer celui-ci pour voir.
Nota : dans /etc/default/networking j’ai aussi changé l’option :
CONFIGURE_INTERFACES=yes
L’histoire de voir si çà change quelque-chose (mais il est probable que non, car çà doit être l’option par défaut je pense).
Après un temps interminable une nouvelle fois, pas loin de 5 min, et là je n’ai pas l’impression qu’il vérifie le disque (parce qu’il n’affiche pas le message de vérification habituel avec un %), mais plutôt qu’il se bloque sur l’une des partitions /mnt/DDprc (« Started File System Check on /dev/disk/by-uuid/dd71d0c5-e828-44d3-93fc-d77e2bfb4554 « jusqu’à ce que le script en lance un autre qui affiche un truc du genre « A start job is running for file Syst … (4 min / No limit) » et finisse par passer à l’étape suivante. Super pénible. :(
Toujours pas de réseau sur l’autre PC.
Sous DMESG, retour du message :
[ 280.284614] NVRM: Your system is not currently configured to drive a VGA console
[ 280.284618] NVRM: on the primary VGA device. The NVIDIA Linux graphics driver
[ 280.284620] NVRM: requires the use of a text-mode VGA console. Use of other console
[ 280.284621] NVRM: drivers including, but not limited to, vesafb, may result in
[ 280.284623] NVRM: corruption and stability problems, and is not supported.
Je croyais l’avoir résolu. Que nenni :).
Il faut une patience extraordinaire …
Quelques autres infos depuis tout à l’heure (j’avais commencé à écrire sans avoir vu que le réseau était planté, donc ré-écriture) :
Gdm3 :
c’est mieux, il accepte le redémarrage via # /init.d/gdm3 restart
néanmoins impossible de rebooter ou éteindre le PC à partir de gdm3 ou MATE. On revient systématiquement à la page de connexion gdm3. Il y a peut-être un paramétrage à faire (dans /etc/gdm3/daemon.conf ou /etc/gdm3/greeter.dconf-defaults)
Au redémarrage j’ai toujours les erreurs de swap signalées (à voir)
Deux commandes intéressantes (je ne connaissais pas, elles m’ont été signalées lors de mes essais sur le réseau) :
# journalctl -xe
# systemctl status networking.service
Elles permettent d’obtenir plus d’information sur les soucis rencontrés.
Concernant les soucis du swap, dans /etc/fstab j’ai (mon ancienne config) :
UUID=1ff8a1a8-a214-42a9-be67-7cd883c935b4 none swap sw 0 0
Dans /dev/disk/by-uuid/ j’ai bien un fichier 1ff8a1a8-a214-42a9-be67-7cd883c935b4 parmis les autres.
Je teste (pour l’avoir vu ainsi sur une autre config sur le net) :
UUID=1ff8a1a8-a214-42a9-be67-7cd883c935b4 swap swap defaults 0 0
Je suis bon pour 10 min de redémarrage :)
Redémarrage : Ok, un autre problème résolu.
J’ai à présent le message :
Activating swap /dev/disk/by-uuid/1ff8a1a8-a214-42a9-be67-7cd883c935b4
Reached target swap
C’était donc un problème de mauvais paramétrage dans /etc/fstab (l’ancien fonctionnait auparavant il me semble, mais bon, çà a changé à priori depuis).
Concernant les soucis avec le driver nvidia, le forum Gentoo semble indiquer un problème de fonctionnement du driver nvidia proprio avec le framebuffer (ma carte n’est peut-être pas assez évoluée).
Ce post sur le forum nvidia propose de lancer nvidia-smi.
J’installe le paquet nvidia-legacy-340xx-smi et lance en console :
$ nvidia-smi
Sat Feb 6 21:17:48 2016
+——————————————————+
| NVIDIA-SMI 340.96 Driver Version: 340.96 |
|——————————-+———————-+———————-+
| GPU Name Persistence-M| Bus-Id Disp.A | Volatile Uncorr. ECC |
| Fan Temp Perf Pwr:Usage/Cap| Memory-Usage | GPU-Util Compute M. |
|===============================+======================+======================|
| 0 GeForce 210 Off | 0000:03:00.0 N/A | N/A |
| N/A 44C P12 N/A / N/A | 68MiB / 1023MiB | N/A Default |
+——————————-+———————-+———————-+
+—————————————————————————–+
| Compute processes: GPU Memory |
| GPU PID Process name Usage |
|=============================================================================|
| 0 Not Supported |
+—————————————————————————–+
J’ai un peu l’impression (même si çà n’est pas écrit explicitement) que le souci vient effectivement d’une limitation de ma carte graphique.
Néanmoins la commande :
# hwinfo –framebuffer
02: None 00.0: 11001 VESA Framebuffer
[Created at bios.459]
Unique ID: rdCR.A4frQBHoMz0
Hardware Class: framebuffer
Model: « NVIDIA GT218 Board – 08730000 »
Vendor: « NVIDIA Corporation »
Device: « GT218 Board – 08730000 »
SubVendor: « NVIDIA »
SubDevice:
Revision: « Chip Rev »
Memory Size: 14 MB
Memory Range: 0xcf000000-0xcfdfffff (rw)
Mode 0x0300: 640×400 (+640), 8 bits
Mode 0x0301: 640×480 (+640), 8 bits
Mode 0x0303: 800×600 (+800), 8 bits
Mode 0x0305: 1024×768 (+1024), 8 bits
Mode 0x0307: 1280×1024 (+1280), 8 bits
Mode 0x030e: 320×200 (+640), 16 bits
Mode 0x030f: 320×200 (+1280), 24 bits
Mode 0x0311: 640×480 (+1280), 16 bits
Mode 0x0312: 640×480 (+2560), 24 bits
Mode 0x0314: 800×600 (+1600), 16 bits
Mode 0x0315: 800×600 (+3200), 24 bits
Mode 0x0317: 1024×768 (+2048), 16 bits
Mode 0x0318: 1024×768 (+4096), 24 bits
Mode 0x031a: 1280×1024 (+2560), 16 bits
Mode 0x031b: 1280×1024 (+5120), 24 bits
Mode 0x0330: 320×200 (+320), 8 bits
Mode 0x0331: 320×400 (+320), 8 bits
Mode 0x0332: 320×400 (+640), 16 bits
Mode 0x0333: 320×400 (+1280), 24 bits
Mode 0x0334: 320×240 (+320), 8 bits
Mode 0x0335: 320×240 (+640), 16 bits
Mode 0x0336: 320×240 (+1280), 24 bits
Mode 0x033d: 640×400 (+1280), 16 bits
Mode 0x033e: 640×400 (+2560), 24 bits
Mode 0x0345: 1600×1200 (+1600), 8 bits
Mode 0x0346: 1600×1200 (+3200), 16 bits
Mode 0x034a: 1600×1200 (+6400), 24 bits
Config Status: cfg=new, avail=yes, need=no, active=unknown
m’indique qu’à priori elle support bien le mode 789 (aka « 0x315h » en hexadécimal) :
Mode 0x0315: 800×600 (+3200), 24 bits
qui est retenu comme paramètre d’affichage pour chacun des noyaux chargés dans /boot/grub/grub.cfg (paramétré via la commande « GRUB_CMDLINE_LINUX= »splash=silent splash vga=789″ » dans /etc/default/grub).
Bref, je ne suis pas tellement plus avancé sur le sujet :)
Je vais laisser cela de côté pour l’instant. J’y reviendrai peut-être plus tard.
Je vais plutôt creuser le problème de réseau entre les 2 PC.
Sur celui-ci le réseau est à présent correctement configuré selon moi.
Lorsque je lance un ping sur celui-ci vers celui du Bottin, ce dernier reçoit correctement le ping (visualisé en console sur ce PC et sur l’autre aussi via le Moniteur système aka gnome-system-monitor)
Sur celui du Bottin : idem, çà fonctionne bien, c’est donc forcément un souci de paramétrage du serveur DNS ou de gateway sur celui du Bottin (bizare je n’ai pourtant pas fais de changement à ce niveau là il me semble).
Sur le PC du Bottin, j’ai bien dans /etc/network/interfaces la commande :
gateway 192.168.x.x
avec la bonne adresse de celui-ci.
Dans /etc/resolv.conf de ce même PC je retrouve bien :
nameserver 212.27.40.240
nameserver 212.27.40.241
Le contenu est correct (les DNS de Free).
Autre idée : installer le paquet resolvconf (il n’était pas installé / peut-être avait-il été désinstallé) sur le PC internet.
Je redémarre pour voir.
A suivre …
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Le 7 Février
Installer le paquet resolvconf n’a rien résolu :)
Toujours pas de réseau. Quand on n’arrive pas à résoudre un problème, on fini par essayer des trucs improbables. Il va falloir que je me documente davantage sur le net.
Ce qui est sûr c’est que ce réseau fonctionnait bien avant la mise à jour et qu’il ne fonctionne plus après la mise à jour.
Les raisons qui me semblent les plus probables :
– un paquet indispensable désinstallé par le jeu des dépendances (possible),
– une configuration du réseau devenue inadaptée (possible).
Voici comment s’articule ce petit réseau :
PC n°1 (en réparation) : interface 1 / adresse 1 (IP statique) < -> PC n°2 (du Bottin)
PC n°1 (en réparation) : interface 2 / adresse 2 (IP statique) < -> PC n°3 (portable de Louis)
PC n°1 (en réparation) : interface 3 / DHCP (IP dynamique) < -> Freebox
L’idée c’est un PC relié au net avec les protections :
– Firewall (guarddog, mais le logiciel est mort)
– Anti-virus (clamav)
desservant les autres.
De plus je monte 2 répertoires communs (entre celui-ci, le PC du Bottin, et un 3ème qui est en rade, via NFS) sur ce PC ce qui me permet de partager avec les autres PC :
– un 1er répertoire /var/cache/apt/archives/ pour éviter de télécharger plusieurs fois les mêmes paquets (plus très utile puisque j’avais arrêté de mettre ce PC à jour – en sécurité en cas de paquets foireux, néanmoins c’est intéressant pour le stockage des paquets sur ce PC plutôt que d’encombrer celui du Bottin),
– un 2nd répertoire pour le partage de fichiers divers (fonds d’écrans, …) entre PC pour m’éviter les transferts par clé USB.
Autres problèmes :
Je souhaite utiliser kuser (pour ajouter des droits à l’un des utilisateurs via une interface agréable).
Au lancement de celui-ci (via le raccourci dans le menu de MATE) il m’indique : « Impossible d’ouvrir « /etc/shadow » en lecture ».
Mon blog commence peu à peu à ressembler à la FAQ complète de Linux :)
Je pense que c’est lié au lancement de l’interface avec les droits du simple utilisateur (pour ouvrir ce fichier il faut être root ou à minima avoir les droits du groupe shadow, observation des droits du répertoire en question, faite via le gestionnaire de fichier). C’est le défaut de ces raccourcis.
=> Effectivement, (une fois résolu le petit souci ci-après) le : « $ gksu kuser » fonctionne bien.
2nd problème bien plus gênant :
1. Le Alt F2 pour lancer une commande m’affiche une fenêtre blanche sans contenu, alors que la commande fonctionnait bien hier.
Et j’ai toujours ce satané message via dmesg (est-ce lié ?) :
[ 282.603833] NVRM: Your system is not currently configured to drive a VGA console
[ 282.603836] NVRM: on the primary VGA device. The NVIDIA Linux graphics driver
[ 282.603838] NVRM: requires the use of a text-mode VGA console. Use of other console
[ 282.603840] NVRM: drivers including, but not limited to, vesafb, may result in
[ 282.603841] NVRM: corruption and stability problems, and is not supported.
2. Les menus de MATE en haut à gauche viennent de disparaître (j’ai toujours la barre avec les applets mais plus les menus)
Problème avec ce satané driver nvidia, bogue d’une bibliothèque mise à jour hier ou le résultat d’une de mes manips ? :)
Je met à jour Synaptic et ne vois pas beaucoup de modifications de paquets (en tout cas aucun en rapport avec le graphisme). Je pencherai donc pour la dernière hypothèse :)
Je vais tester ce que cela donne à partir d’un autre compte utilisateur.
=> Problème résolu : après libération de place sur le /Home (à la fermeture de Iceweasel j’ai découvert une fenêtre de message sur le bureau m’indiquant un problème de place insuffisante sur le /Home, ce qui m’a évidemment mis sur la voie), plus de soucis ni avec le menu MATE ni avec le Alt F2 (les 2 semblent fortement liés). Il s’agissait donc d’un petit souci (pas de conséquences) de saturation du /Home.
Retour aux soucis de réseau : le moins que l’on puisse dire c’est qu’il supporte mal les modifications de configuration. Les modifs (sur /etc/network/interfaces) ont une tendance à planter le réseau et il est ensuite nécessaire de rebooter (la commande « # /etc/networking restart » ne parvient plus à redonner le réseau même une fois revenu à la situation précédente du fichier de configuration).
Le 2nd problème est que la phase de boot sur ce PC est extrêmement longue (4 à 5 min sur le message ci-après auxquelles s’ajoutent le temps de démarrage puis d’initialisation de la carte graphique, on doit friser les 6-7 min hors vérification des disques tous les 40 montages, mais çà revient vite quand on fait des tests et qu’il lui faut ensuite plusieurs montages pour défragmenter plusieurs partitions sur des disques lents) à cause d’un bug de systemd (affichant ce maudit message « [ 5.956934] systemd-gpt-auto-generator[217]: /dev/sda: failed to determine partition table type: Input/output error »).
Donc tout essai sur ce réseau est extrêmement pénible.
Ca me donne une idée, celle de reprendre mon fstab suivant ces docs de référence sur UBUNTU et Wikipedia :
notamment les options de montage de /dev/sda1 (aka 0f3cbe1b-9ab7 …) ne me semblent pas adaptées :
UUID=0f3cbe1b-9ab7-43e5-851f-289ebab66bea / ext3 users,exec,dev,suid 0 1
Autoriser un utilisateur lambda (avec les droits « users ») à pouvoir démonter la partition root ne me semble plus une excellente idée. Je change pour :
UUID=0f3cbe1b-9ab7-43e5-851f-289ebab66bea / ext3 defaults 0 1
(soit rw,suid,dev,exec,auto,nouser,async)
Ca ne résoudra pas mon problème au démarrage (pourquoi diable essaie-t-il de déterminer le type de partition de /dev/sda ?), mais c’est plus propre.
Pour mes soucis de lenteur au démarrage, j’imagine 2 solutions temporaires :
– lancer une vérification manuelle du disque /mnt/DDprc une fois démonté (via les commandes « # umount /dev/sda4 » et « e2fsck /dev/sda4 » correspondant à cette partition montée sur /mnt/DDPrc), car j’ai l’impression que c’est elle qui bloque à chaque fois le démarrage. La vérification est peut-être interrompue avant son achèvement ce qui fait qu’elle serait relancé au démarrage suivant,
– bloquer provisoirement la vérification (le temps de mes essais) de ce disque en modifiant le fichier fstab :
# /dev/sda4 /mnt/DDprc ext3 defaults 0 2
UUID=dd71d0c5-e828-44d3-93fc-d77e2bfb4554 /mnt/DDprc ext3 defaults 0 2
par (le dernier digit) :
UUID=dd71d0c5-e828-44d3-93fc-d77e2bfb4554 /mnt/DDprc ext3 defaults 0 0
A suivre …
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Le 8 Février
L’idée était bonne : le fait de lancer la défragmentation du disque manuellement a permis de gagner un temps considérable au démarrage.
La seule différence est qu’il avait fini de défragmenter /dev/sda4 et qu’il attaquait la défragmentation de /dev/sdb2 (j’avais aussi prévu de le défragmenter mais ne l’avais pas indiqué ci-dessus).
Extrait de mon fstab :
# /dev/sdb2 /mnt/DDter ext3 defaults 0 2
UUID=7c1342cc-edc3-4e3a-9a3f-40efccbd1d63 /mnt/DDter ext3 defaults 0 2
J’ai donc lancé en plus :
# umount /dev/sdb2
# e2fsck /dev/sdb2
Il faut veiller à démonter une partition avant de la défragmenter pour éviter de l’abimer.
La défragmentation manuelle en une seule fois me semble plus rapide que la défragmentation faite au (à chaque) démarrage, mais peut-être n’est-ce qu’une impression. En tout cas c’est moins agaçant.
La défragmentation au démarrage est en effet interrompue par le script de démarrage après quelques minutes, et j’imagine qu’elle reprend là où elle en était au démarrage suivant (mais peut-être ne reprend-il pas exactement au même endroit).
Sur mon autre PC équipé d’un SSD (pour le /, formaté en ext3) et de disques classiques (pour le reste, en ext4), la défragmentation est relativement transparente, mais sur celui-ci pas de SSD, les disques sont tous en ext3 et sont nettement plus lents (c’est un calvaire quand çà se lance).
Avec # dmesg j’ai toujours le message :
[ 6.622574] systemd-gpt-auto-generator[217]: /dev/sda: failed to determine partition table type: Input/output error
Mais cela ne gêne pas le démarrage (bon à savoir).
De même, sous ce même utilitaire, j’ai toujours :
[ 73.587848] NVRM: Your system is not currently configured to drive a VGA console
[ 73.587853] NVRM: on the primary VGA device. The NVIDIA Linux graphics driver
[ 73.587855] NVRM: requires the use of a text-mode VGA console. Use of other console
[ 73.587857] NVRM: drivers including, but not limited to, vesafb, may result in
[ 73.587859] NVRM: corruption and stability problems, and is not supported.
Mais çà ne gêne pas l’accélération graphique ni le fonctionnement de MATE (bon à savoir).
Comme souci majeur, il ne me reste que le fonctionnement du réseau (je manque de connaissances sur le sujet). Je pourrais éventuellement aussi utiliser l’une des autres sorties de la freebox que je raccorderais à l’autre PC, mais je n’ai pas envie de le faire.
L’idée c’est : un seul PC raccordé au net avec les sécurités éventuelles, et les autres viennent s’y raccorder. J’y passerais le temps nécessaire, mais çà sera ainsi (il n’y a pas de raison, çà fonctionnait avant la mise à jour).
Une excellente doc (que je me met de côté) qui devrait me rafraîchir la mémoire :
Wikibooks (Administration réseau sous Linux/Configuration réseau)
Je viens d’aller faire un tour sur Synaptic voir si de nouveaux paquets étaient disponibles et règleraient éventuellement quelques-uns de mes problèmes.
Une nouvelle version de mon noyau actuel est disponible :
linux-image-4.3.0-1-686-pae en version 4.3.5-1 (vs 4.3.3-7)
Je vois aussi de nouvelles versions d’autres outils tels que systemd, systemd-sysv, udev, …
Je met tout cela à jour (avec les risques que cela comporte en Sid : ok en connaissance de cause).
J’en profite pour me débarrasser de mes anciens noyaux (les 2.6, 3.1, …) et autres nvidia-kernels-2.6, … toujours via synaptic.
Je relance.
Ca démarre nickel : pas une erreur, et pas besoin de recompiler de module nvidia (puisque c’est la même version de kernel, celui compilé précédemment reste donc compatible).
J’ai gagné au moins une amélioration visible, je n’ai plus l’agaçant message sous « # dmesg » :
[ 6.622574] systemd-gpt-auto-generator[217]: /dev/sda: failed to determine partition table type: Input/output error
Un grand merci les gars, pour ceci et pour tout ce que je ne vois pas !
Bonne soirée à tous.
A suivre …
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Le 9 et 10 Février
Hier, pas grand-chose de neuf, peu de disponibilité, donc je me suis fais plaisir : la sélection et l’installation des dernières versions des blockbusters de jeux Linuxiens : 0ad, supertux, supertuxkart, alien-arena, openttd, doomsday, flare, flightgear, ufoai, wesnoth, … pour ne citer que ceux qui n’étaient pas déjà installés dans une version à jour.
Côté ergonomie du poste de travail :
gnome-pie : à lui tout seul il surpasse largement le lanceur de gnome 3. J’adore. Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est un lanceur d’applications permettant de faire apparaître un menu rotatif (plusieurs types de sélecteurs et de skins disponibles) de sélection d’applications à l’endroit du curseur.
Pour le paramétrer le plus facile me semble être de le lancer en console : $ gnome-pie
puis de paramétrer le lancement du sélecteur d’application sur le clic d’un de vos boutons latéraux de souris si vous en avez (ma souris en dispose de 2 sur les côtés, cet utilitaire justifie à lui seul l’achat d’une souris avec quelques boutons supplémentaires, sinon il peux se lancer du clic du milieu ou de n’importe quelle touche). Ne pas oublier de cocher « Start Gnome-Pie on login ».
Avec cet outil je n’ai besoin de rien sur le bureau – qui devient dépouillé et propre, et c’est un plaisir de sélectionner une application peu importe où se trouve le curseur de la souris. Je trouve qu’elle est là la véritable évolution / révolution du bureau : un lanceur ergonomique (en plus du menu des applications, car il n’est pas question d’y mettre tout, il perdrait au contraire de son intuitivité).
Quelques paramétrages de MATE retenus (via le « Centre de contrôle »):
– la sélection des icônes MATE-Faenza (dans « Personnaliser l’apparence »),
– la sélection des polices « Droid Sans Fallback » (via la section « Apparence », icône « Apparence », onglet « Polices » en taille 10, + en bold pour Police du bureau et titres des fenêtres, et « Terminus 10 » pour la police à chasse fixe (bien lisible dans un terminal). Paramétrage très intéressant : dans ce même menu « Polices », à la section « Rendu » je clique sur le bouton « Détails… » et là je sélectionne une optimisation « Légère » (vs « totale ») ce qui me donne des caractères incomparablement plus fins / nets à l’écran (excellent !).
– la sélection de « Activer le gestionnaire de fenêtres avec composition logicielle » et « Boutons de la barre des titres à gauche » (onglet général du menu « Paramètres des fenêtres ») : donne un joli relief aux fenêtres avec l’ombrage et affiche les boutons de fenêtre à gauche au lieu d’à droite, à la manière d’UBUNTU (maintenant que j’ai pris l’habitude j’aime bien).
– je déplace le tableau de bord en haut de l’écran (là aussi c’est une habitude qui me plaît bien), j’y ajoute quelques applets (fermeture/quitter MATE, Netspeed pour visualiser les flux vers l’extérieur, le sélecteur de bureaux)
– l’économiseur d’écran indispensable (j’aime bien WindupRobot) :)
– j’ajoute un joli fond d’écran (plutôt sobre je trouve) : Clear Blue 2 par exemple,
Arf, il me fait des trucs bizarres sur le compte de Louis :
– je peux supprimer des fichiers réservés au root en étant simple utilisateur
– le Alt F2 se remet à me donner une fenêtre blanche et je n’arrive pas à accéder au menu système (les 2 sont liés),
– je peux supprimer des fichiers mais pas les mettre à la poubelle (je peux vider la corbeille, j’ai vérifié les droits d’accès du fichier de la corbeille dans ~/.local/share/Trash et ils sont corrects).
– tout à l’heure j’ai aperçu sous dmesg des messages d’anomalies liés au disque dur – que je n’arrive plus à reproduire après le reboot.
Je me demande s’il n’y a pas de nouveaux soucis avec le script de démarrage qui induiraient ces soucis. A moins que ce ne soit des corruptions liées au driver nvidia (les messages précédents sont toujours signalés)
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Le 12 Février
Reprise du journal de bord du capitaine Tux :)
J’avais laissé le PC inactif quelques temps. Je me connecte, pas de souci. Je le laisse inactif quelques minutes en discutant avec Louis et …
Les leds du clavier clignotent, gros bip du PC et me voila en QWERTY
Je redémarre le PC.
Idem (en QWERTY, mais pas les autres symptômes).
Ctrl At F1 : en console je suis bien en AZERTY, pas de soucis, c’est donc juste un problème de paramétrage sous Xorg.
Dans le Centre de Contrôle de MATE, je clique sur l’icône Clavier, onglet Agencement et là effectivement la liste se réduit à « Anglais(US) », je clique sur le bouton « Ajouter » puis Français, le fait passer en premier dans la liste, valide, et tout rentre dans l’ordre.
Bizarre ce truc. Je vous jure que je ne fais pas exprès de faire durer le plaisir en ajoutant des anomalies factices :)
(moi à votre place je commencerais à avoir des doutes)
Mise à jour des paquets (entre-autres, j’ai noté ceux-ci au cas où je verrai des améliorations / dégradations par la suite) sous Synaptic :
udev systemd systemd-sysv libsystemd0 libpam-systemd (et dérivés) 228-6 vers 229-1
libegl1-mesa libwayland-egl1-mesa (et dérivés) 11.1.1-2 vers 11.1.2-1
devscripts 2.15.10 vers 2.16.1
initramfs-tools initramfs-tools-core 0.122 vers 0.123
apt (et dérivés) 1.2.2 vers 1.2.3
libinput10 1.1.6-1 vers 1.1.7-1
libvte-2.91-0 0.42.3-1 vers 0.42.4-1
Donc du lourd. J’espère que çà va bien arranger les choses (mais aucune illusion pour le réseau, là la balle est dans mon camp je pense).
3 min d’installation, ensuite je vais redémarrer et suspens…
Me voilà de retour et je remarque déjà une amélioration :
Avec les droits root ($ gksu caja), je créé à nouveau un répertoire dans lequel je met un fichier.
J’ouvre ensuite une autre instance de caja en utilisateur normal.
Je tente de mettre le fichier à la poubelle : çà ne fonctionne toujours pas (pas d’amélioration ici), il me propose de le supprimer, j’accepte, et là il m’affiche « Erreur lors de la suppression » : c’est déjà mieux :)
Je clique sur « Afficher plus de détail » et j’obtiens « Erreur à la suppression du fichier : Permission non accordée ». Voilà ce que je voulais lire.
En utilisateur normal je créé un fichier, puis tente de le mettre à la poubelle, çà ne fonctionne toujours pas, il m’affiche « Impossible de mettre le fichier à la corbeille. Voulez-vous le supprimer immédiatement ? » (pas d’amélioration ici), il me propose de le supprimer, j’accepte, et effectivement il le supprime. Je vais tenter sous un autre compte utilisateur.
Test avec un autre utilisateur : çà fonctionne bien, je peux créer un fichier et le mettre à la poubelle. Je vais comparer les droits des 2 répertoires (rappel : j’en avais créé un manuellement et l’avais laissé remplir de fichiers par le simple démarrage d’applications qui y mettent ce qu’elles ont besoin).
Je ne trouve rien de particulier, les deux ont :
– les droits utilisateur avec leur groupe
– celui qui fonctionne à les droits de ~/.local/share/Trash en drwx
– celui qui ne fonctionne pas en drwxr-xr-x (donc à priori plus ouvert)
– des sous-répertoires expunged/, files/, info/
Je vais quitter le compte (Je ferme la session et Ctrl Alt F1), et en console externe je vais tenter de renommer cette poubelle puis me reconnecter pour voir s’il la recréé.
Je démarre une nouvelle session. J’ai une poubelle. Mais il n’a pas recréé de ~/.local/share/Trash
Serait-elle ailleurs ? A priori (selon mes lectures sur le net) non.
Je tente (sans trop y croire puisque çà fonctionne sur l’autre compte utilisateur) une réinstallation des paquets (filtre « trash ») : gnome-applets libfm4 mate-applet mate-applets-common
Problème non résolu pour l’instant.
Je renomme (avec le bon nom) mon fichier ~/.local/share/Trashsv en ~/.local/share/Trash
Je tente un clic droit sur la corbeille : et me revoila avec une fenêtre blanche et la barre des menus qui a disparu … Je relance.
Sous le compte de louis, avec gnome3 et nautilus je tente la manip mais il n’y a pas de corbeille sur le bureau, ni même de menu d’applications (« normal » à priori – la dictature de Gnome), mais il y a une corbeille sur nautilus. Là aussi pas moyen de mettre un fichier dans la corbeille.
Je tente la même manip avec Dolphin sous Gnome3 : je peux mettre le même fichier à la poubelle, et du coup je le vois dans la corbeille de Nautilus et de MATE !
Il semble y avoir un souci avec une bibliothèque de Gnome/MATE ou plus exactement Nautilus/Caja pour la gestion de la corbeille puisque Dolphin permet de mettre un fichier à la poubelle et pas les autres.
Je retente sous un autre compte utilisateur : çà fonctionne sous MATE avec cet autre compte.
Arf. Ce n’est donc pas un bug mais un souci spécifique à mon installation (vraisemblablement le fait d’avoir créé manuellement le compte). Bizarre quand même qu’avec Dolphin çà fonctionne. Je vais créer un autre utilisateur pour voir.
Inutile, j’ai progressé sur le sujet : si je créé un fichier dans le répertoire « Documents » sous caja et que je tente de l’effacer, il va bien dans la corbeille. Donc c’est un problème de droit sur le répertoire /mnt/DDprc/Download/ sur lequel je faisais mes tests.
Je change les droits sur le répertoire (au lieu du groupe users je met le groupe principal de louis : je créé un fichier, je l’efface, il accepte (c’est mieux), mais il n’atterrit pas dans la Corbeille !
Je tente de vider la corbeille par un clic droit sur son icône : elle plante et un icône résiduel (un raccourci vers le jeu Wolfenstein) disparaît lui aussi du bureau !
Je reboot. Finalement je revois les droits de DDprc/ (ajoute la permission en écriture au groupe users auquel appartient louis), en utilisateur root je renomme le répertoire /mnt/DDprc/Download et recréé un autre /mnt/DDprc/Download avec l’utilisateur louis. A présent je peux mettre un fichier dans la Corbeille en l’effacant et le vois dans la Corbeille, mais un clique droit sur la Corbeille pour la vider, plante la Corbeille et tout autre icône qui se trouve sur le bureau. Néanmoins je peux y accéder via Caja. C’est pas encore çà, mais c’est mieux :)
Bon, je repasse au réseau.
Je retente l’installation du paquet network-manager (il comprend aussi des démons de réseau).
Je vais surveiller s’il efface /etc/resolv.conf, et le réinitialiserai au besoin.
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Le 13 Février
Le 13 çà porte malheur ? Eh bien là non.
Yeeeeeeeeeeeesssssssssss !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le voilà le réseau !!!! Ca marche !!!
Et euh … je ne sais pas pourquoi :)
Je vous écris enfin du PC du Bottin, et Louis reçoit aussi le net sur son portable.
Qu’il est doux de recevoir de l’internet sur son PC :) Punaise je commençais à désespérer. Pfiou …
(Petit debriefing rapide sur la soirée d’hier).
Bon enfin, j’ai ma petite idée, j’imagine que network-manager avec ses démons de réseau et/ou l’une des bibliothèques associées ou plutôt guidedog (voir ci-après) était indispensable à la distribution du réseau. Pourtant network-manager n’est pas installé sur le PC du Bottin qui a déjà servi de gateway à un autre PC qui lui était connecté (et biensûr cela fonctionnait bien).
Je n’ai en effet rien modifié dans les fichiers relatifs aux réseaux …
Grosso modo je n’ai fais que consulter des sites pour améliorer mes connaissances des réseaux.
J’ai aussi cliqué sur l’icône de réseau sur le bureau MATE (clic droit : « Modification des connexions »>Add>Ethernet>Device>eth0 (celui vers le PC du Bottin)), mais je doute que çà n’ait eut une quelconque utilité puisque je n’ai rien ajouté en ce qui concerne eth2 qui sert à la connexion du portable de Louis (dont le réseau – lui aussi, ne fonctionnait plus).
Ce qui est sûr et certain, c’est que hier en soirée j’avais fais quelques autres tests de réseaux : je n’avais aucun report de l’internet ni vers le PC du Bottin, ni vers le portable de Louis.
Hier en fin de journée, j’ai aussi rétabli guidedog (un vieux nanard, en dépôts, dernière mise à jour en août 2008, voir le site) avec son précédent fichier de configuration (que j’avais heureusement sauvegardé, /etc/rc.guidedog), pour le routage des paquets vers les 2 autres PC. Je suis à peu près certain maintenant qu’il est là le chaînon manquant.
J’avais effectué quelques redémarrages, mais sans doute pas après avoir remis en marche guidedog.
Aujourd’hui je ne vais pas avoir beaucoup de temps pour faire d’autres investigations sur ce PC (le portable de Louis est devant, c’est encombré) mais je pense y revenir pour définitivement éclaircir ce précédent problème, et vérifier que si je désactive guidedog ou network-manager çà fonctionne quand-même (je peux me tromper, mais à mon avis çà fonctionnera sans network-manager qui est un outil sans nul doute utile, mais pas indipensable à la distribution du réseau).
Petites modifs avant de vaquer à d’autres occupations :
1. Ajout de Gkrellm s’affichant sur tous les espaces de travail et au lancement du bureau :
Je lance Gkrellm, un vieil outil au look d’époque mais je le trouve génial pour la surveillance rapide d’un PC car il affiche en une seule petite barre des graphiques reflétant l’occupation des 4 threads du processeur, de l’utilisation des processus du PC (avec le nombre d’utilisateurs actuels), de l’utilisation du disque (une synthèse de l’ensemble des utilisations des disques ?), des 3 interfaces réseaux (auxquelles on peut donner un nom), et quelques infos annexes (utilisation de la mémoire et du swap, et si un message du système est en attente de lecture, l’heure, la date, le nom du PC, celui du noyau en cours. Difficile de faire plus concis et plus visuel. Il mériterait juste un rafraîchissement de son look qui accuse le poids des années. On peut aussi le paramétrer pour s’afficher sur chacun des bureaux (« positionner le type de fenêtre à dock ou panneau ») et le faire disparaître de la barre des tâches.
Dans le centre de contrôle de MATE je clique sur « Applications au démarrage » et l’ajoute dans la liste.
2. Ajout du moniteur système de Gnome sur le 2nd espace de travail (j’en ai gardé 2 sur les 4 par défaut) et ajout au démarrage :
Le moniteur système de Gnome est une application que je trouve très utile également. Si utile que je le lance systématiquement au démarrage via le centre de contrôle de MATE (dans « Applications au démarrage », ajouter gnome-system-monitor dans la zone « Commande : »). D’un clic droit sur la bordure haute de la fenêtre d’abord je la déplace sur l’espace de travail souhaité, d’un second clic droit au même endroit je sélectionne « Seulement sur cet espace de travail » pour qu’elle démarre toujours sur cet espace de travail.
Nota :
Je viens de vérifier, le réseau NFS de partage du cache des paquets et d’un second espace de disque commun fonctionne également à présent.
Je cherchais un moyen de désactiver le mot de passe réclamé par le bureau après un certain temps d’inactivité.
Je suis tombé sur la page fort intéressante (comme d’habitude) d’UBUNTU-fr : « Désactiver les mots de passe« .
Pour désactiver le mot de passe agaçant du bureau, je pense avoir trouvé (à tester si çà revient) :
dans le Centre de contrôle, section « Apparence », cliquer sur « Paramètres de la session de bureau », décocher « Verrouilleur d’écran »
Du coup çà me donne aussi d’autres idées à tester (pour mémo) :
$ seahorse : pour la gestion des mots de passe)
lightdm (je viens de l’installer sur les 2 PC) : un autre gestionnaire de démarrage (je ne connaissais pas).
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Le 13 Février (suite) – Dépannage du PC du Bottin (suite à « l’obsolescence programmée » de ma carte graphique).
Je reviens sur le PC du Bottin pour le mettre à jour lui et le Bottin (pour ce dernier il y a du boulot :) )
A suivre …
Tiens, mon travail d’avant va à priori me servir pour le PC du Bottin : à la mise à jour des paquets de celui-ci, surprise surprise (en Anglais dans le texte :) ) :
This system has a graphics card which is no longer handled by the NVIDIA driver (package nvidia-driver) … The above card requires either the non-free legacy NVIDIA driver (package nvidi-legacy-340xx-driver) or the free Nouveau driver (package xserver-xorg-video-nouveau).
Use the update-glx command to switch between different installed drivers.
Before the Nouveau driver can be used you must remove NVIDIA configuration from xorg.conf (and xorg.conf.d/). »
Bon ben voilà, çà a le mérite d’être explicite, au prochain démarrage si je ne fais rien sur le PC du Bottin, je vais goûter là aussi aux joies de la ligne de commande :)
Je vais tâcher de ne pas me précipiter à redémarrer.
☐ Install NVIDIA driver despite unsupported graphics card?
Finallement non, je ne coche pas, puisque je n’ai que celle-ci d’installée sur ce PC et qu’elle ne fonctionnera – elle aussi, plus qu’avec l’ancien driver. Nous devenons tous un jour obsolète.
Et bing, l’installation via synaptic plante (mais pas synaptic) sur une erreur à cause de conflits entres paquets nvidia.
Je vais devoir régler cela moi-même (et rapidement si je veux profiter de l’ergonomie de l’environnement graphique au maximum)en console.
Je quitte synaptic, ouvre une console en root, et lance un :
# apt-get -f install
Lecture des listes de paquets… Fait
Construction de l’arbre des dépendances
Lecture des informations d’état… Fait
Correction des dépendances… Fait
Les paquets suivants ont été installés automatiquement et ne sont plus nécessaires :
iw kstars-data libcfitsio2 libcfitsio3 libcr0 libtorque2 xplanet xplanet-images
Veuillez utiliser « apt autoremove » pour les supprimer.
The following additional packages will be installed:
libegl1-nvidia libgl1-nvidia-glx libnvidia-eglcore libnvidia-ml1 nvidia-alternative nvidia-driver nvidia-driver-bin nvidia-kernel-dkms
nvidia-kernel-support nvidia-legacy-check nvidia-vdpau-driver xserver-xorg-video-nvidia
Paquets recommandés :
nvidia-settings nvidia-persistenced
Les NOUVEAUX paquets suivants seront installés :
nvidia-legacy-check
Les paquets suivants seront mis à jour :
libegl1-nvidia libgl1-nvidia-glx libnvidia-eglcore libnvidia-ml1 nvidia-alternative nvidia-driver nvidia-driver-bin nvidia-kernel-dkms
nvidia-kernel-support nvidia-vdpau-driver xserver-xorg-video-nvidia
11 mis à jour, 1 nouvellement installés, 0 à enlever et 2326 non mis à jour.
2 partiellement installés ou enlevés.
Il est nécessaire de prendre 0 o/22,7 Mo dans les archives.
Après cette opération, 10,3 Mo d’espace disque seront libérés.
Souhaitez-vous continuer ? [O/n]
Il détecte donc aussitôt les paquets nvidia non complètement installés.
This system has a graphics card which is no longer handled by the NVIDIA driver (package nvidia-driver). You may wish to keep the │
│ package installed – for instance to drive some other card – but the card with the following chipset won’t be usable: │
│ │
│ 02:00.0 VGA compatible controller [0300]: NVIDIA Corporation GT200b [GeForce GTX 275] [10de:05e6] (rev a1) │
│ │
│ The above card requires either the non-free legacy NVIDIA driver (package nvidia-legacy-340xx-driver) or the free Nouveau driver │
│ (package xserver-xorg-video-nouveau). │
│ │
│ Use the update-glx command to switch between different installed drivers. │
│ │
│ Before the Nouveau driver can be used you must remove NVIDIA configuration from xorg.conf (and xorg.conf.d/). │
│ │
│ Install NVIDIA driver despite unsupported graphics card? │
│ │
│ oui non
Je sélectionne « non »
Il plante sans avoir terminé le paramétrage.
Je recommence, je répond « oui », et là il fini son installation jusqu’à :
Inadéquation du module nvidia chargé │
│ │
│ Le pilote nvidia qui est en train d’être installé (version 352.79) ne correspond pas au module actuellement chargé (version │
│ 340.96). │
│ │
│ Le serveur X ainsi que les applications OpenGL et GPGPU risquent de ne pas fonctionner correctement. │
│ │
│ La manière la plus simple de corriger cela est de redémarrer la machine une fois que l’installation est terminée. Vous pouvez │
│ également arrêter le serveur X (généralement en arrêtant le gestionnaire de connexion, comme gdm3, kdm ou xdm), retirer vous-même │
│ le module (« rmmod nvidia »), puis redémarrer le serveur X.
Il me semble bien que c’est ce que j’avais dû obtenir sur l’autre PC. J’avais redémarré et plus d’accélération graphique du tout, normal, le pilote installé ne supporte plus le matériel installé, il faut changer de pilote.
Je le laisse terminer son installation, et relance un : # apt-get -f install
pour vérifier qu’il n’y a pas de paquets résiduels non installés ou en attente de configuration. Ok.
Je reprend ma liste de paquets nvidia nécessaires pour éviter les conflits entre versions.
Il faut virer le reste (des paquets nvidia) et ne conserver / installer que ceux-là.
Avant cela, je tente – comme il me le suggérait plus haut, un : # update-glx
J’essaie différentes configurations de paramètres
# update-glx –help
update-glx is a wrapper around update-alternatives supporting only configuration
of the ‘glx’ and ‘nvidia’ alternatives. After updating the alternatives, it
takes care to trigger any follow-up actions that may be required to complete
the switch. (…)
Il permet de switcher entre le driver nvidia et glx. Je laisse tomber.
Liste (remise à jour) des paquets nvidia legacy (version « définitive », filtre « nvidia » sous Synaptic) avec l’accélération graphique fonctionnelle et une carte graphique nvidia utilisant les anciens drivers :
légende :
+ : à installer si çà n’est pas déjà fait
– : à désinstaller.
Direction Synaptic :
(déjà installés dans ma liste ci-dessous : glx-alternative-nvidia, libcg, )
+ glx-alternative-nvidia,
+ libcg,
+ libegl1-nvidia-legacy-340xx (installe par dépendances : libnvidia-legacy-340xx-eglcore, nvidia-legacy-340xx-alternative),
– désinstallation de libgl1-nvidia-glx (désinstalle xserver-xorg-video-nvidia)
+ xserver-xorg-video-nvidia-legacy-340xx (version 340.96-2 – voir dans la description du paquet si vous devez installer celle-là ou la version 304.131-3, voir aussi plus bas, qui installe par le jeu des dépendances : libgl1-nvidia-legacy-340xx-glx, libgles1-nvidia-legacy-340xx, libgles2-nvidia-legacy-340xx, nvidia-legacy-340xx-ml1, nvidia-legacy-340xx-driver, nvidia-legacy-340xx-driver-bin, nvidia-legacy-340xx-kernel-dkms, nvidia-legacy-340xx-kernel-support, nvidia-legacy-340xx-vdpau-driver, nvidia-persistenced, nvidia-settings-legacy-340xx)
– désinstallation de libgl1-nvidia-legacy-340xx-glx-i386 (c’est un métapackage, il ne sert qu’à la transition et peut-être supprimé par la suite),
– désinstallation de libgles1-nvidia (remplacé par libgles1-nvidia-legacy-340xx installé plus haut)
– désinstallation de libgles2-nvidia (remplacé par libgles2-nvidia-legacy-340xx installé plus haut)
– désinstallation de libnvidia-eglcore (pas la même version, visible sous synaptic)
– désinstallation de libnvidia-ml1 (pas la même version, visible sous synaptic, me désinstalle nvidia-driver-bin, ok)
– désinstallation de nvidia-alternative (pas la même version, visible sous synaptic, me désinstalle nvidia-kernel-3.1.0-1-686-pae, nvidia-kernel-3.2.0-4-686-pae, nvidia-kernel-dkms, nvidia-kernel-support, nvidia-settings, nvidia-vdpau-driver)
+ nvidia-installer-cleanup, nvidia-kernel-common (déjà installés, version sans rapport avec le reste, çà ne devrait pas poser problème)
– désinstallation de nvidia-kernel-source (pas la même version, visible sous synaptic)
– désinstallation de nvidia-legacy-check (pas la même version, visible sous synaptic)
+ nvidia-legacy-340xx-kernel-source
IMPORTANT : après installation de ce dernier paquet nvidia-legacy-340xx-kernel-source, je réinstalle les paquets linux-headers-xxx et linux-image-xxx pour être sûr qu’il me recompile bien les drivers en rapport avec mes noyaux avant de quitter. L’idée est d’obtenir des paquets :
nvidia-legacy-340xx-kernel-(version du kernel) (créé par la compilation du driver).
Problème : visiblement çà n’a pas fonctionné, en console j’ai vu passer des messages « Bad machin » à la compilation. La compilation des modules/drivers nvidia n’a visiblement pas fonctionnée, ce qui ne m’étonne qu’à moitié. Je pense que je ne vais pas échapper à un redémarrage et à une compilation après avoir démarré.
Optionnels : nvidia-modprobe, nvidia-persistenced, nvidia-support
libvdpau1 (dépendance vis à vis de gxine et mplayer2), libxnvctrl0, mate-sensors-applet, mate-sensors-applet-nvidia, nvidia-installer-cleanup, nvidia-legacy-340xx-smi, nvidia-xconfig
(pas sûr qu’ils soient tous complètement indispensables, mais ils sont installés)
Nota :
Lors de la désinstallation de libgl1-nvidia-glx, il me sélectionne la désinstallation de xserver-xorg-video-nvidia
Je sélectionne en retour l’installation de xserver-xorg-video-nvidia-legacy-340xx version 340.96-2 (et pas le xserver-xorg-video-nvidia-legacy-304xx version 304.131-3) puisqu’un peu plus haut il m’avait indiqué :
02:00.0 VGA compatible controller [0300]: NVIDIA Corporation GT200b [GeForce GTX 275] [10de:05e6] (rev a1)
et que je retrouve dans la description de ce paquet ma carte : GeForce GTX 275 [GT200b]
Je constate qu’il m’installe une série de paquets complémentaires (liste mise à jour ci-dessus) qui diffère sur certains paquets avec celle de mon autre PC. Je ne suis pas trop inquiet (je devrais peut-être l’être :) ), je poursuit en lançant cette seconde série d’installation de paquets.
Voilà c’est à peu près tout ce que je puis dire sur le sujet. J’avais commencé à copier les messages d’installation, mais çà encombre davantage et nuis aux explications, donc j’ai effacé ces messages.
Le risque majeur auquel je pense dans cette installation désordonnée, est de ne pas avoir désinstallé certains paquets avant d’en avoir installé d’autres, ce qui pourrait potentiellement engendrer la suppression de fichiers communs ou ne pas écraser d’anciens fichiers par les nouveaux devant être utilisés (à priori non, car çà devrait être signalé).
Au redémarrage il faudra que je lance la commande :
# m-a a-i -f nvidia-legacy-340xx-kernel-source
Mais avant cela je vais tenter de mettre à jour le maximum de paquets (il s’agit là aussi d’une très grosse mise à jour) via Synaptic sous Xorg (tant que j’ai une interface graphique disponible).
A noter qu’à la mise à jour des paquets à partir des dépôts Debian Français, j’ai reçu (tenté à plusieurs reprises) des alertes avec des sommes de hachages incohérents. J’ai provisoirement (j’y reviendrais) changé le pays de téléchargement, ce qui a résolu le problème.
Au programme, de nombreuses mises à jour de bibliothèques, de xorg (dont l’installation d’un nouveau paquet xserver-xorg-legacy, mais que j’ai déselectionné car signalé comme ayant un bug serious empêchant de démarrer Xorg), …
Le redémarrage s’annonce costaud en emmerdes potentielles :)
Va-t-il faire mieux que le PC relié à internet ? Les paris sont ouverts ! :)
Réponse : ceux qui avaient voté NON (dont moi) ont perdus :)
Ca marche nickel et du premier coup (ou presque : le noyau 4.3.0-1-686-pae ne fonctionne pas sur ce PC et je ne sais pas pourquoi, Grub2 s’arrête après 1 ou 2 min sur une erreur avec ce noyau) ! Incroyable ! Chapeau bas messieurs !
Avec le driver legacy je pensais qu’il allait falloir compiler un paquet nvidia-kernel-version mais non, il n’en a pas besoin, çà marche sans et j’en ai la confirmation avec :
$ glxinfo
name of display: :0
display: :0 screen: 0
direct rendering: Yes
server glx vendor string: NVIDIA Corporation
server glx version string: 1.4
Zut, va falloir que je me remette au Bottin :) …
Je viens de découvrir une petite application fort sympathique : startupmanager (en dépôts)
Elle permet de paramétrer l’aspect de grub au démarrage ainsi que le graphisme de son environnement.
Par contre, il vaut mieux éviter des résolutions supérieures à 800×600 sinon çà rame beaucoup.
ATTENTION : la dernière version 1.9.13-8 est pour l’instant signalée comme buggée.
J’ai installé la version 1.9.13-5 via gdebi.
A postériori :
Je remarque une différence importante entre les 2 PC dans la phase de démarrage : le PC du Bottin est beaucoup plus loquace, et ce que je prenais pour une pause du démarrage pendant la vérification des partitions (car ce sont les seuls messages affichés), n’est en fait que le masquage des messages d’initialisation.
Dans les options attribuées à chaque noyau j’ai :
Sur le PC du Bottin : ro splash vga=788 quiet
Sur le PC internet : ro splash=silent vga=792 splash quiet
Je tente donc d’enlever le paramètre « splash=silent » via l’interface startupmanager, mais çà ne fonctionne pas (sous son interface l’option cochée « Afficher le texte pendant l’amorçage » n’enlève pas l’option « splash=silent »).
J’édite donc le fichier /etc/default/grub et remplace :
GRUB_CMDLINE_LINUX= »splash=silent vga=792 splash »
par :
GRUB_CMDLINE_LINUX= »vga=792 splash »
Et lance en console un : # update-grub
Pour qu’il mette à jour le fichier /boot/grub/grub.cfg
Tests sur lightdm :
LightDM (en dépôts) est un gestionnaire de démarrage au même titre que gdm, kdm, xdm ,…
Très bon point pour son adoption, il est puissant et activement maintenu (site, launchpad, Wiki sur UBUNTU).
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Le 14 Février
Premières impressions concernant lightdm :
Après quelques essais, il me semble fiable et puissant.
Ces réglages par défaut sont plutôt arides, orientés parano (traduisez minimalistes : il faut taper son nom et mot de passe, pas de liste, impossible de rebooter ou d’éteindre le PC).
J’aime bien sa gestion de l’affichage avec 2 écrans : si le curseur de la souris se trouve sur l’écran de droite, les informations et saisies sont à droite, si l’on déplace la souris sur l’écran de gauche, l’interface entière s’affiche à gauche (le fond d’écran reste le même à droite comme à gauche).
Le paramétrage est pénible et complexifié par la présence de nombreux fichiers. Visiblement on ne peux pas mettre n’importe quel paramétrage reconnu dans n’importe quel fichier : certains paramétrages doivent figurer dans un fichier et pas dans un autre.
Pour l’instant, je n’ai pas trouvé comment activer le menu permettant de rebooter et/ou d’éteindre le PC.
Et cerise sur le gâteau : à présent il m’a bloqué également l’usage des boutons de reboot et d’arrêt depuis MATE qui fonctionnaient correctement avant. Je ne peux plus éteindre mon PC, un comble. Seule solution pour l’instant : se connecter en root et lancer manuellement la commande # reboot ou # halt. Pénible.
Le paramétrage s’effectue dans /etc/lightdm/ contenant plusieurs fichiers de configuration, d’autant que j’ai installé les paquets lightdm-kde-greeter et lightdm-gtk-greeter qui eux-même ont ajoutés chacun leur propre fichier de configuration :
/etc/lightdm/keys.conf
[keyring]
#a=0x0123456789ABCD
#b=secret
Je n’ai pas trouvé de doc sur le sujet. 2 paramètres commentés. J’imagine que c’est encore un fichier en rapport avec la sécurité (caractères autorisés pour « a », peut-être).
/etc/lightdm/lightdm.conf
Le fichier de base contenant dont tous les paramètres sont commentés par défaut – donnant ainsi les exemples de ce que l’on peut faire.
/etc/lightdm/users.conf :
Un fichier spécifique pour la gestion des utilisateurs affichés. Suivant les docs ci-dessus, je l’ai paramétré comme suit :
[UserList]
minimum-uid=500
hidden-users=nobody nobody4 noaccess
hidden-shells=/bin/false /usr/sbin/nologin
(en gros : on affiche les utilisateurs dont l’uid >500, on ne cache pas d’utilisateur)
Sur la doc UBUNTU et dans le fichier lui-même, il est précisé que ce fichier users.conf est ignoré si AccountsService est installé, ce qui est le cas si l’on utilise MATE et/ou gdm3 (dépendances sous Synaptic).
et ceux ajoutés :
/etc/lightdm/lightdm-kde-greeter.conf : par le paquet lightdm-kde-greeter
[greeter-settings]
Background=/usr/share/images/desktop-base/login-background.svg
/etc/lightdm/lightdm-gtk-greeter.conf : par le paquet lightdm-gtk-greeter
[greeter]
icon-theme-name = Faenza
font-name = Droid Sans Fallback 10
En relisant la doc UBUNTU, je vois que l’ordre de lecture des fichiers est :
/usr/share/lightdm/lightdm.conf.d/*.conf
qui contient (et ne doit pas être édité) :
/usr/share/lightdm/lightdm.conf.d/01_debian.conf
[SeatDefaults]
greeter-session=lightdm-greeter
greeter-hide-users=true
session-wrapper=/etc/X11/Xsession
Puis :
/etc/lightdm/lightdm.conf.d/*.conf
Puis :
/etc/lightdm/lightdm.conf
Les paramètres sont combinés dynamiquement pour former le fichier final (en mémoire ?).
Donc en lisant cela (test en cours), je me dis que si je veux écraser les paramétrages précédents, il vaut mieux que j’écrive dans /etc/lightdm/lightdm.conf qui est le dernier fichier lu.
Je tente donc la chose suivante :
Je sauvegarde tous les fichiers ailleurs.
Je ne conserve dans /etc/lightdm/ que les fichiers suivants :
/etc/lightdm/keys.conf
/etc/lightdm/lightdm.conf
/etc/lightdm/users.conf
J’édite lightdm.conf et en début de fichier (tous le reste n’est que paramètres commentés) j’ajoute :
# Paramétrage goupildb
[SeatDefaults]
greeter-hide-users=false
#autologin-user=xxxx (mon login si je veux qu’il se connecte directement sans mot de passe)
[greeter]
icon-theme-name = Faenza
font-name = Droid Sans Fallback 10
background=/etc/lightdm/Wallpaper.png
default-user-image = /home/xxxx/.face.icon
(remplacer « xxxx » par votre login)
J’ai copié dans /etc/lightdm/ un fond d’écran au format .png que j’ai nommé moi-même Wallpaper.png
Le fond d’écran doit être au format « .png » (le format « .jpg » n’est visiblement pas supporté).
Et je redémarre lightdm. Pour aller plus vite dans mes tests je fais :
Ctrl Alt F1
(=console de démarrage)
(je me connecte en root
# /etc/init.d/lightdm restart
Résultat : çà ne fonctionne qu’à moitié :)
Ce qui fonctionne dans /etc/lightdm/lightdm.conf :
[SeatDefaults]
greeter-hide-users=false
#autologin-user=xxxx
Ce qui ne fonctionne pas dans /etc/lightdm/lightdm.conf :
[greeter]
icon-theme-name = Faenza
font-name = Droid Sans Fallback 10
background=/etc/lightdm/Wallpaper.png
default-user-image = /home/xxxx/.face.icon
J’enlève donc la section qui ne fonctionne pas de ce fichier lightdm.conf
et remet le fichier /etc/lightdm/lightdm-gtk-greeter.conf contenant :
[greeter]
icon-theme-name = Faenza
font-name = Droid Sans Fallback 10
et lui ajoute :
background=/etc/lightdm/Wallpaper.png
default-user-image = /home/xxxx/.face.icon
Résultat : çà ne fonctionne qu’à moitié :)
Ce qui fonctionne dans /etc/lightdm/lightdm-gtk-greeter.conf :
[greeter]
icon-theme-name = Faenza (je ne suis pas sûr que çà marche)
font-name = Droid Sans Fallback 14 (vérifié çà marche si je change la taille, j’ai retenu une taille 14)
background=/etc/lightdm/Wallpaper.png (ok çà marche ici)
Ce qui ne fonctionne pas dans /etc/lightdm/lightdm-gtk-greeter.conf :
default-user-image = /home/xxxx/.face.icon
Je progresse un peu :
J’avais installé le paquet mate-accountsdialog-common mais pas le paquet mate-accountsdialog (il manque sans doute une dépendance entre ces deux-là).
J’installe donc en plus ce dernier.
A noter que dans le Centre de contrôle, section « Administration », il y a un icône « LightDM GTK+ Paramètres d’Apparence » mais lorsque l’on clique dessus il ne se passe rien.
L’installation du paquet mate-accountsdialog donne accès à une application $ /usr/bin/mate-accountsdialog
A noter que cette interface ne semble pas apparaître dans le Centre de contrôle.
Celui-ci – fort utile et bien conçu comprend néanmoins quelques imperfections.
Concernant la gestion des utilisateurs, j’ai :
Section Administration :
– 2 lanceurs « Utilisateurs et groupes » avec une de mes photos (celle que je voudrais voir – et étais parvenu à afficher sous lightdm mais n’y arrive plus). Mais visiblement ils comportent des bugs car la plupart des boutons sur l’interface correspondante ne fonctionnent pas.
– 1 lanceur « Mate-AccountsDialog » avec la photo qui apparaît sous lightdm. Mais les boutons d’action sont désactivés, on ne peut s’en servir qu’en consultation visiblement. Visiblement il correspond à l’application /usr/bin/mate-accountsdialog installé par le paquet mate-accountsdialog.
Section Personnel
– 1 lanceur « À propos de moi » avec l’icône que je souhaiterai utiliser. Permet juste de changer mon mot de passe et ma photo, mais de toute façon visiblement il ne communique pas avec lightdm.
Lorsque je lance /usr/bin/mate-accountsdialog en console, l’interface se lance mais elle est verrouillée, et j’obtiens le message :
(mate-accountsdialog:18788): dconf-CRITICAL **: unable to create file ‘/run/user/1000/dconf/user’: Permission non accordée. dconf will not work properly.
Du coup pour le test, je le lance via : $ gksu /usr/bin/mate-accountsdialog
Et là effectivement çà fonctionne, je peux changer l’image.
Redémarrage de lightdm : çà marche, c’est bien via cette application qu’il récupère la photo de connexion.
Autre méthode (merci au gens de Archlinux) éditer le fichier : /var/lib/AccountsService/users/username
Petit aparté :
En cliquant sur le bouton « Apparence » (section Apparence »), je reçois après quelques secondes le message :
Impossible de démarrer le gestionnaire de paramètres « mate-settings-daemon ».
Sans le gestionnaire de paramètres de MATE activé, certaines préférences peuvent ne pas prendre effet. Ceci peut être dû à un problème avec DBus, ou qu’un gestionnaire de paramètres non-MATE (par ex. KDE) est déjà actif et entre en conflit avec le gestionnaire de paramètres MATE.
Puis une fenêtre sans contenu « Préférences de l’apparence » s’ouvre.
A ne pas confondre avec le lanceur « Personnaliser l’apparence » (même section) qui lui fonctionne.
J’imagine que ces petits soucis sont liés à l’installation de plusieurs gestionnaires simultanément (KDE, MATE, Gnome).
Bon voilà le résultat provisoire de mes recherches :
/etc/lightdm/lightdm-gtk-greeter.conf :
[greeter]
# background = Background file to use, either an image path or a color (e.g. #772953)
# icon-theme-name = Icon theme to use
# font-name = Font to use
# position = main window position: x y
# clock-format = strftime-format string, e.g. %H:%M
icon-theme-name=Faenza
font-name = Droid Sans Fallback 10
background=/etc/lightdm/Wallpaper.png
position=20%,center 50%,center
clock-format = %a %d %b, %H:%M:%S
/etc/lightdm/lightdm.conf
# Paramétrage goupildb
[SeatDefaults]
greeter-hide-users=false
#autologin-user=utilisateur
#autologin-user-timeout=4
(plus le reste du fichier commenté d’origine)
J’ai testé l’autologin : çà fonctionne bien. Eviter de mettre moins de 4 secondes sinon vous risquez de ne pas avoir le temps de changer d’utilisateur si vous le souhaitez.
A noter que l’ensemble des modifs n’est réellement pris en compte qu’au prochain redémarrage (testé notamment pour cette fonctionnalité d’autologin)
Je cherche encore comment permettre d’éteindre le PC ou rebooter via cette interface (car pour l’instant les options sont disponibles mais grisées).
Petite découverte très utile (grâce au wiki sur lightdm du site Archlinux) pour tester lightdm : en console, lancer : $ /usr/sbin/lightdm –test-mode –debug
affiche une session de lightdm via xephyr (à installer si vous ne l’avez déjà fait).
La clé à chercher à priori : Shutdown
Indices (à creuser) : /etc/apparmor.d/abstractions/lightdm (contient Shutdown)
Un point intéressant sur les gestionnaires de démarrage : Wiki Manjaro : Install Display Managers
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Le 15 Février
Plusieurs problèmes résiduels :
1. Soucis de réseaux non complètement résolus (bug sur paquets d’initialisation Debian type udev, sysv, … ?)
Je commence à penser que mes soucis de réseaux précédents n’étaient pas dûs à une quelconque erreur de paramétrage de ma part ou désinstallation de paquet, mais plutôt à un souci d’initialisation de carte réseau, et donc à un problème de timing dans l’initialisation de la carte réseau (en d’autres termes, les « coupables » présumés seraient les développeurs de scripts d’initialisation Debian :) ).
J’ai en effet eut le même souci hier matin et ce soir : plus d’internet sur le PC du Bottin. Cela s’est résolu en éteignant successivement le PC du Bottin et celui fournissant internet, l’internet à finit par revenir de cette manière sans rien faire d’autre.
Ce que je n’ai pas vérifié ce soir (oubli) : si j’avais du ping sur le PC du Bottin.
Mais Dimanche il me semble que j’avais du ping et pas d’internet, et qu’en éteignant successivement les PC l’internet est revenu tout seul.
2. Mot de passe intempestif demandé avec ou sans économiseur d’écran
Toutes les 5 à 10 min le PC internet se met à activer son économiseur (sauf que je l’ai désactivé en principe) : l’écran s’assombrit puis, si je ne fais rien, se met en veille, m’affiche une fenêtre bleu avec un bandeau noir dont l’aspect rappelle fortement gnome / Gtk3, et me réclame un mot de passe : ultra pénible.
=> Solution à tester sur le long terme : $ gnome-tweak-tool
et Retirer l’économiseur d’écran (3 exemplaires chargés actuellement) : à voir si l’opération est pérenne.
=> Sous MATE dans le Centre de Contrôle, section « Personnel », « Applications au démarrage », enlever l’économiseur d’écran et autres verrouilleurs d’écrans. A voir si pérenne là aussi.
=> à l’aide du moniteur système j’ai fermé tout ce qui ressemblait à de l’économiseur d’écran. Cà a le mérite d’avoir résolu temporairement le problème. Reste à voir s’il ne réapparaît pas au prochain démarrage (réponse demain).
3. Depuis que j’ai installé lightdm, cette andouille m’interdit de rebooter ou d’éteindre mon PC, non seulement depuis son interface mais aussi depuis MATE. En effectuant quelques recherches de fichiers sur mon PC je m’aperçois qu’au travers des 6 paquets lightdm & dérivés, il s’est insinué dans de nombreux répertoires.
Mes recherches pour déverrouiller l’option Shutdown et boot m’ont mené également (en dehors des répertoires /etc/lightdm/ et /etc/init.d/ et /etc/ rcx.d/ « normaux et autres /usr/lib/i386-linux-gnu) à /etc/pam.d/, à (3 fichiers lightdm), à /etc/apparmor.d/abstractions/ (2 fichiers lightdm), à /etc/alternatives (1 fichier lightdm), /lib/systemd/system/ (1 fichier), …
Bref çà fait beaucoup. J’espère que le jour où je voudrais le désinstaller (ce qui ne saurait tarder si je n’arrive pas à virer cette merde qui m’interdit de rebooter et d’éteindre mon PC) il ne me laissera pas des fichiers à traîner un peu partout.
Après une journée complète à chercher, je n’ai toujours pas trouvé comment activer le menu permettant de rebooter et/ou d’éteindre le PC.
Et cerise sur le gâteau : à présent il m’a bloqué également l’usage des boutons de reboot et d’arrêt depuis MATE qui fonctionnaient correctement avant : à présent ils atterrissent sur lightdm quelques-soit l’action choisie, et depuis MATE je ne peux plus éteindre mon PC, un comble. Seule solution pour l’instant : se connecter en root et lancer manuellement la commande # reboot ou # halt. Pénible.
Donc j’ai encore un peu de pain sur la planche.
Concernant lightdm :
Info intéressante : /var/log/lightdm :
[+0.07s] DEBUG: Logging to /var/log/lightdm/lightdm.log
[+0.07s] DEBUG: Starting Light Display Manager 1.16.6, UID=0 PID=2787
[+0.07s] DEBUG: Loading configuration dirs from /usr/share/lightdm/lightdm.conf.d
[+0.07s] DEBUG: Loading configuration from /usr/share/lightdm/lightdm.conf.d/01_debian.conf
[+0.07s] DEBUG: [SeatDefaults] is now called [Seat:*], please update this configuration
[+0.07s] DEBUG: Loading configuration dirs from /usr/local/share/lightdm/lightdm.conf.d
[+0.07s] DEBUG: Loading configuration dirs from /etc/xdg/lightdm/lightdm.conf.d
[+0.07s] DEBUG: Loading configuration from /etc/lightdm/lightdm.conf
[+0.07s] DEBUG: Using D-Bus name org.freedesktop.DisplayManager
(…)
Les mots clés à trouver
#login_window,
#shutdown_dialog,
#restart_dialog
Petite avancée :
L’outil LightDM GTK+ Paramètres d’Apparence est disponible sous le Centre de Contrôle de MATE mais il ne se lance pas.
En fait, il faut le lancer en console car il requiert un dialogue et une authentification !
(Dommage qu’il soit si mal intégré dans MATE)
Via la commande : $ lightdm-gtk-greeter-settings-pkexec
Il fournit une interface très sympa de personnalisation de lightdm.
Malheureusement le bouton intitulé « Power menu » sous cette interface, n’est pas davantage activable. Il faut certainement rechercher ailleurs la raison de cette absence d’activation.
Test :
1. J’ai mis à jour/réinstallé les paquets polkit, en me disant que çà à peut-être un rapport avec ce rapport de bug sur Launchpad (pb d’autorisation).
Il n’y a rien d’écrit sous /etc/polkit-1/localauthority/ (il y a plusieurs répertoires mais ils sont tous vides, contrairement au rapport de bug dans lequel une personne évoque un paramétrage d’un fichier dans ce répertoire).
=> La réinstallation n’ajoute rien dans ces répertoires.
2. installation du paquet xsettingsd
Xsettingsd est un démon qui met en œuvre la spécification XSETTINGS. Il est conçu pour être petit, rapide et dépendant au minimum d’autres bibliothèques. Il peut servir d’alternative au démon gnome-settings-daemon pour les utilisateurs n’utilisant pas l’environnement de bureau GNOME mais qui utilisent des applications GTK+ et veulent configurer les thèmes, l’anticrènelage ou l’optimisation des fontes et les effets sonores d’interface graphique.
$ /usr/bin/xsettingsd
xsettingsd: Unable to parse /home/goupil2/.xsettingsd: Couldn’t init stream (No such file or directory)
Je les collectionne :)
C’est tout pour ce soir …
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Le 16 Février
Pas d’informatique :)
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Le 17 Février
C’est bien ce que je pensais :
Je démarre le PC du Bottin et attends qu’il soit bien lancé dan sa phase de démarrage pour lancer le PC internet :
=>l’internet est disponible sur le PC internet, mais il ne le distribue pas sur le PC du Bottin. Le ping fonctionne bien entre le PC du Bottin et le PC internet. Donc la carte réseau est bien initialisée. Ce n’est donc pas un souci de script d’initialisation de la carte réseau elle-même – contrairement à ce que j’ai écris. Mais vraisemblablement un bug sur un paquet se chargeant de la distribution d’internet. Je suis à peu près certain que lorsque je vais éteindre puis rallumer le PC internet, il va transmettre l’internet au PC du Bottin.
Extinction du PC internet …
10 min plus tard …
(oui, j’avais oublié qu’en éteignant le PC par l’interrupteur – du fait de lightdm qui me bloque les boutons d’extinction, je devais me taper la vérification de toutes les partitions :) )
Perdu, çà marche pas :) J’ai du ping mais toujours pas d’internet sur le PC du Bottin.
Mais je crois qu’à présent (si je m’en réfère à mon expérience précédente) en éteignant et rallumant le PC du Bottin, l’internet va arriver dessus sans rien faire d’autre.
Extinction du PC du Bottin … (mais avec la commande # halt pour éviter la vérif des disques ;)
Oui, bon, d’accord, celui-là non plus ne parvient plus à s’éteindre complètement :)
Encore un truc nul : j’attends qu’il ait fini son script d’extinction (reconnaissable par un petit craquement du HP en fin de script) et je l’éteins moi-même via le bouton.
Ca fait des années que çà dure :
en fonction des mises à jour des scripts, sur des périodes de plusieurs mois, le PC du Bottin accepte l’arrêt et s’arrête relativement rapidement (à condition d’arrêter d’abord le PC du Bottin, sinon celui-ci reste allumé, dans l’attente d’un signal du PC internet qui ne vient pas lorsqu’il est déjà éteint).
Et puis sur d’autres périodes (plusieurs mois), c’est pénible, il ne s’arrête plus, il déroule son script d’extinction puis se bloque, il faut y aller de l’interrupteur.
Mais en ce moment je sais que c’est la faute de lightdm qui a changé des paramètres qui non seulement interdisent l’arrêt via les boutons des interfaces, mais aussi perturbe l’arrêt des PC même en les éteignant via la commande « # halt » (même problème sur les 2 PC depuis que j’ai installé lightdm sur les 2).
Bon je reviens à mon souci d’internet : çà marche toujours pas, pas d’internet (mais j’ai le ping).
Je recommence l’extinction du PC du Bottin (celui-là est plus récent et nettement plus rapide à redémarrer, je préfère commencer par là).
Résultat : pas d’internet.
J’éteins les 2 PC et les rallume (va falloir être patient) …
Résultat : Je vous écris du PC du Bottin avec internet :)
Je vous l’avais écris, j’en étais sûr que çà allait finir par marcher … (bon, pas exactement quand je l’avais prévu mais pas loin :) ).
Récapitulatif :
1. Je n’ai touché à rien en dehors de demander l’extinction des PC.
2. Quand je n’avais pas d’internet sur le PC du Bottin, j’avais néanmoins du réseau puisque le ping fonctionnait (en console je recevais le temps de réponse) et j’ai même vérifié sur l’autre PC qu’il le recevait bien via le graphique de signal d’interface sous gkrellm.
3. Après avoir éteint physiquement les 2 PC puis les avoir rallumé (le PC du Bottin étant beaucoup plus rapide, il est arrivé bien avant l’autre à l’interface de lightdm), l’internet a refait son apparition sur le PC du Bottin.
4. Détail qui a sans doute son importance et qui peut prêter au sourire : (le PC internet en était encore à la vérification des disques) alors que le PC du Bottin était en attente sous lightdm, il a prononcé à voix haute : « 6-0-D-B » et là j’ai su que çà allait fonctionner :)
Les autres fois il ne le prononçait pas.
Et non, ce n’est pas la guerre des étoiles avec R2D2 qui appellerait son copain SISPEO :)
J’ai dû activer le truc de synthèse vocal pour malvoyants et à chaque démarrage du PC du Bottin – quand j’ai de l’internet, il prononce ce truc incompréhensible en fin de phase de démarrage. Signe que le script de démarrage ne va pas jusqu’au bout quand il n’a pas d’internet.
Rappel : le portable de Louis n’avait pas d’internet non plus (pas testé ce soir, il n’est pas là).
Mon hypothèse :
Donc selon moi, le souci est sur le PC distribuant internet. Parfois il doit mal s’initialiser et ne distribue pas internet. Du coup une partie du script d’initialisation du PC du Bottin l’attend, l’autre permet d’arriver à lightdm et de démarrer mais sans internet. Lorsqu’internet est distribué, l’autre partie du script poursuit son déroulement jusqu’à l’utilitaire de synthèse vocale (text-to-speech ou un truc comme çà).
Du coup j’ai vraiment envie de tester les trucs que j’avais laissé en suspend :
1. est-ce que le PC internet distribue correctement internet sans le paramétrage du noyau créé via guidedog (je vais renommer /etc/rc.guidedog) : je pense que oui (réponse après test : perdu, il en a besoin).
2. est-ce que le PC internet distribue correctement internet sans devoir installer resolvconf et network-manager (je vais les désinstaller) : je pense que oui (réponse après test : gagné, il n’en a pas besoin).
Même pas peur, je me lance dans cette manip.
Ensuite je vais redémarrer le PC internet (pour être sûr que le processus soit entièrement pris en compte) et voir ce que cela donne.
A tout de suite (voir à demain si çà ne fonctionne pas :) )
=> Résultat : j’ai toujours de l’internet via le PC internet mais plus sur le Bottin (que je n’avais pas éteint). Mais j’ai du ping entre les deux.
Donc 1er point : pas besoin de ces paquets pour avoir de l’internet sur le PC internet.
Reste à voir si c’est nécessaire pour l’autre (notamment /etc/rc.guidedog pour la translation de ports).
Je retente mes manips successives d’extinction des PC (je vais commencer par les arrêter en même temps et les redémarrer, et écouter si mon copain R2D2 appelle son copain :) ).
A+
Résultat : perdu :)
R2D2 a bien appelé son copain, mais pas d’internet.
Je referai d’autres tests demain. Bonne soirée à vous.
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Le 18 Février
Après plusieurs tentatives infructueuses, je me suis décidé à ajouter /etc/rc.guidedog et çà marche.
Il semble donc que sans la translation de port, point d’internet pour le PC du Bottin.
Bon, j’ai au moins économisé resolvconf et network-manager : inutiles pour la distribution d’internet. Ce qui ne veut pas dire qu’ils n’ont pas leur utilité, mais j’aime connaître le minimum vital pour obtenir une fonctionnalité donnée.
Pour info, les paramétrages de guidedog :
Onglet « Routing » :
☑ Enable routing
☑ Enable IP Masquerade
☑ Masquerade FTP
☑ Masquerade IRC
Network destinations that should be contacted without using IP masquerade:
192.168.x.1/24 adresse du PC du Bottin
192.168.x.2/24 adresse du portable de Louis
Onglet « Forwarding » :
Port forwarding rules:
TCP 6881 -> 192.168.x.1:6881 (P2P:ktorrent)
UDP 6881 -> 192.168.x.1:6881 (P2P:aMule – client étendu)
TCP 50000 -> 192.168.x.1:50000 (P2P:ktorrent – standard P2P)
UDP 4672 -> 192.168.x.1:4672 (P2P:Kadmelia)
TCP 4661 -> 192.168.x.1:4661 (aMule)
TCP 4665 -> 192.168.x.1:4665 (aMule)
UDP 4665 -> 192.168.x.1:4665 (aMule)
TCP 445 -> 192.168.x.1:445 (aMule)
TCP 4242 -> 192.168.x.1:4242 (aMule – Serveur de fichier)
TCP 4500 -> 192.168.x.1:4500 (aMule – Serveur de fichier)
TCP 1234 -> 192.168.x.1:1234 (OpenRA)
UDP 1234 -> 192.168.x.1:1234 (OpenRA)
Onglet « Advanced » :
☐ Disable Guidedog
Pas sûr qu’il soit totalement bien paramétré (notamment concernant l’IP masquerade), car je suis un amateur en la matière. Néanmoins çà fonctionne :)
Il est même vraisemblable que seul les 2 premières, voir les 4 premières cases à cocher soient nécessaires pour obtenir l’internet (le reste concerne des applications bien spécifiques où les n° de ports doivent êtres maintenus pour qu’elles les trouvent.
Retour à lightdm :
J’ai copié les fichiers de config du PC du Bottin sur le PC internet et paramétré l’autologin (mis à jour le contenu du fichier de paramétrage ci-avant), çà fonctionne bien. Il est juste nécessaire de redémarrer lors d’un changement de paramétrage.
Reste ce foutu problème de verrouillage du reboot et du halt.
Bon, avec le Wiki PolicyKit de Debian je devrais avancer à grands pas.
D’autant que j’aperçois un utilitaire dénommé policykit-gnome. Très très alléchant :)
Je tape en console : $ policykit-gnome
Rien ne se passe. Direction Synaptic (qui est en plein activité en ce moment sur le PC du Bottin).
J’ai peut-être écris un peu vite :) La coquille est vide, peu de doc sur le sujet, il est juste écrit :
PolicyKit is an application-level toolkit for defining and handling the policy that allows unprivileged processes to speak to privileged processes, in order to grant some user the right to perform some tasks in some situation (using ?ConsoleKit).
Sample uses:
Let the user Hibernate and shutdown the computer.
Let the user manage (Wireless) connections.
Let the user mount/eject a removable media (CD/DVD, USB keys…)
Let the user access devices, like audio, scanner, etc.
Pile poil ce que je cherche, mais comment fait-on, quel est la commande ?
Je cherche sous Synaptic avec le filtre policykit, installe quelques trucs, test le raccourci /etc/xdg/autostart/polkit-gnome-authentication-agent-1.desktop
mais çà ne fonctionne pas pour l’instant.
J’installe mate-polkit et dérivés.
Je lance :
$ /usr/bin/mate-polkit
** (polkit-mate-authentication-agent-1:1158): WARNING **: Unable to register authentication agent: GDBus.Error:org.freedesktop.PolicyKit1.Error.Failed: Cannot determine session the caller is in
Cannot register authentication agent: GDBus.Error:org.freedesktop.PolicyKit1.Error.Failed: Cannot determine session the caller is in
et pas de fenêtre d’appli à l’horizon, ni d’icône supplémentaire dans le Centre de contrôle, ni rien de particulier dans le menu « Outils système » des applications.
Le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils ne sont pas très loquace sur le sujet, pourtant à mon avis le sujet a dû en emmerder plus d’un :)
Je vais essayer de redémarrer pour voir si ensuite il y a du changement …
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Le 19 Février
Bingo !
C’était çà :)
Après redémarrage (du PC du Bottin) les options grisées de reboot et d’extinction du PC sous lightbox sont devenues noires et activables.
L’autorisation d’arrêt et de reboot du PC sous Debian Sid est donc conditionnée par l’installation et l’activation de Policykit.
Côté activation, rien à faire de votre part, il suffit d’installer les paquets (je n’ai rien paramétré) correspondants.
Côté installation, je suis un peu embêté car pour mettre le maximum de chances de mon côté, j’ai installé sur le PC du Bottin à peu près tout ce qui était en rapport avec Policykit (filtre « policykit » sous Synaptic), donc je ne sais pas dire quels sont les paquets minimum à installer.
A priori comme çà je dirais :
policykit-1
Et ensuite en fonction du gestionnaire de fenêtres utilisé :
pour MATE :
mate-polkit
mate-polkit-common
mate-polkit-bin
pour GNOME :
policykit-1-gnome
pour KDE :
polkit-kde-agent-1
les bibliothèques devraient vraisemblablement suivre en fonction des dépendances, je ne les indique pas.
A noter que je n’ai trouvé aucune interface de gestion de Policykit sous MATE (rien dans le Centre de Contrôle, aucun raccourcis dans les menus du bureau), en dépit des paquets installés
Pour le vérifier je vais faire le test sur le PC internet sur lequel la fonctionnalité de reboot et d’arrêt sont inactives.
Pour tester lightdm sans quitter MATE :
$ /usr/sbin/lightdm –test-mode –debug
(Installez xnest et xserver-xephyr, si vous ne l’avez déjà fait).
Vérif sous Synaptic de la situation initiale sur le PC internet (reboot/arrêt non actif) :
pour MATE :
mate-polkit (1.12.0-1 à passer en 1.12.0-3)
mate-polkit-common (1.12.0-1 à passer en 1.12.0-3)
mate-polkit-bin (non installé)
pour GNOME :
policykit-1-gnome (0.105-1 à passer en 0.105-2)
pour KDE :
polkit-kde-agent-1 (4:5.4.3-1 : dernière version à jour)
Donc il y a à peu près tout sauf mate-polkit-bin, que j’installe, ce qui me met à jour mate-polkit et mate-polkit-common.
A priori, c’est pas çà (pas de changement en console (avec /usr/sbin/lightdm –test-mode –debug), sauf s’il faut redémarrer, ce que je fais.
Idem après redémarrage : visiblement çà ne suffit pas.
Je compare les 2 synaptics et je vais essayer d’y aller petit à petit :
1er test : installation d’aptdaemon (installé sur le PC du Bottin, et pas sur le PC internet)
Aptdaemon allows normal users to perform package management tasks, e.g.
refreshing the cache, upgrading the system, installing or removing software
packages.
Currently it comes with the following main features:
– Programming language independent D-Bus interface, which allows one to
write clients in several languages
– Runs only if required (D-Bus activation)
– Fine grained privilege management using PolicyKit, e.g. allowing all
desktop user to query for updates without entering a password
– Support for media changes during installation from DVD/CDROM
– Support for debconf (Debian’s package configuration system)
– Support for attaching a terminal to the underlying dpkg call
Même si ce n’est pas çà, de toute façon la fonctionnalité me semble intéressante.
=> C’est pas çà :)
A suivre (Louis a investi le PC internet, il n’est plus dispo pour ce soir) …
L’occasion de me remettre au Bottin :)
Autres pistes éventuelles, voir si ces paquets sont installés :
libselinux1 libsemanage-common libsemanage1 libsepol1
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Le 20 Février
Je viens de vérifier sur le PC internet que la mise à jour des paquets de la section « Nouvelle version amont du logiciel » de Synaptic ne résolvait pas le blocage avec Polycikit, ce qui est le cas, le PC est à présent à nouveau à jour, et le blocage n’est toujours pas résolu.
Je met à jour les bibliothèques restantes :
gir1.2-polkit-1.0 (0.105-3 vers 0.105-14.1)
libpolkit-agent-1-0 (0.105-3 vers 0.105-14.1)
libpolkit-backend-1-0 (0.105-3 vers 0.105-14.1)
libpolkit-gobject-1-0 (0.105-3 vers 0.105-14.1)
libpolkit-gtk-mate-1-0 (1.12.0-1 vers 1.12.0-3)
policykit-1-gnome (0.105-1 vers 0.105-2)
Je vérifie la réactivation éventuelle des boutons via $ /usr/sbin/lightdm –test-mode –debug
Les boutons ne sont toujours pas activables.
Je reboot le PC : çà marche !
Donc :
– il s’agissait d’un bug sur l’un des paquets ci-dessus. Un grand merci aux développeurs de l’avoir résolu.
– la fonction « $ /usr/sbin/lightdm –test-mode –debug » est utile pour tester de petites modifs de paramétrage de lightdm, mais pas pour le déboguage, pour lequel le reboot reste indispensable.
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CONCLUSION :
Bon, eh bien voilà, ainsi s’achève ma longue litanie :)
PHENIX est de retour, mais l’accouchement aura été difficile :)
L’idée de départ était de faire un truc relativement court démontrant l’intérêt de ne pas mettre à la poubelle sa vieille distrib Linux, ce que vous faites si vous l’écrasez en la réinstallant via un CD ou une clé USB : vous perdez alors une grande partie du travail d’organisation de vos données / du système, et cela vous oblige à effectuer de nombreuses sauvegardes.
Objectif non atteint ici :
– l’opération aura été longue (3 semaines à raison de 2h/j en moyenne, avec des interruptions, +2 we) et fastidieuse
– du coup je reste avec un système en ext3 assez lent (pour la défragmentation), alors que j’aurais pu passer en ext4 (plus rapide),
– çà aura été plus compliqué que prévu car la distrib était très ancienne, que certains paquets n’existaient plus, que les nombreuses dépendances entre paquets ont générées des dés-installations non maîtrisées. Le risque était aussi de trimballer des fichiers de configuration obsolètes (mais la plupart du temps j’ai choisi le nouveau fichier proposé par l’installateur, en gardant de côté mon ancien fichier pour y reprendre éventuellement des paramètres. Pour le HOME de chaque utilisateur j’ai aussi choisi un répertoire vierge pour éviter les risques d’incompatibilité entre le nouveau système et les très anciens fichiers de configuration, et du coup çà oblige à reprendre le bureau, mais ce n’est pas le plus désagréable).
Cela dit :
– c’est possible, la preuve :)
– Debian s’en sort bien, c’est du costaud, suffit de connaître les fichiers à modifier.
Les détracteurs diront que c’est un échec ou au mieux un demi-échec.
Les autres (adeptes du verre à moitié plein) que c’est une demi-réussite :)
Je terminerai donc encore une fois par ce que j’en ai retiré de positif :
1. comme à chaque fois, j’ai révisé mes connaissances de Linux, et j’ai appris des tas de trucs :
– J’ai amélioré ma technique de migration (ancienne distrib>nouvelle distrib) en désinstallant dès le début les paquets non importants qui interviennent dans les conflits de paquets. J’ai aussi vu qu’apt peut dans certains cas (lorsque la distrib à upgrader est très ancienne) se révéler plus utile qu’aptitude (lorsque les paquets à upgrader sont très nombreux, aptitude ne parvient plus à donner de réponse satisfaisante dans les temps, alors qu’apt va éventuellement casser un paquet, mais celui-ci pourra par la suite être réparé).
– J’ai un peu amélioré ma connaissance du réseau en identifiant les paquets / paramétrages nécessaires à celui-ci. Je serais moins stressé pour retrouver de l’internet sous Linux Debian à partir d’une Freebox car je connais à présent les paramétrages et paquets nécessaires (c’était un sujet que je maîtrisais très mal). Je peux encore me faire piéger c’est sûr, mais je serais mieux armé.
– J’ai découvert Policykit et son intérêt dans la sécurité du système. A présent si le reboot et/ou l’arrêt de mon PC ne fonctionne(nt) plus je serais un peu moins (on n’est jamais à l’abri d’autres surprises) dépourvu (sachant vers quels paquets me tourner).
– J’ai découvert le (superbe) gestionnaire LightDM comme excellente alternative à gdm3, kdm et xdm. Une fois bien paramétré, il est très sympa et superbe (j’aime la gestion du multi-écran, la simplicité de changement de son fond d’écran).
– J’ai découvert d’autres outils / paramétrages de MATE (comment désactiver la demande de mot de passe intempestive, …) et quelques astuces pour améliorer son aspect (un aspect bien plus net en diminuant le lissage par défaut des polices, comment changer l’icône de l’utilisateur, …).
– J’ai découvert la nouvelle façon d’installer l’accélération graphique matérielle NVIDIA (lorsque le pilote de ma carte graphique passe en « Legacy ») et identifié quels sont les paquets minimum à installer.
– J’ai découvert comment faire fonctionner le pilote NOUVEAU pour nvidia (et qu’il commence à plutôt bien fonctionner) en le chargeant éventuellement manuellement (via le # modprobe nouveau). Jusqu’ici je croyais qu’il ne fonctionnait plus.
– J’ai amélioré ma technique du chroot, et me suis créé un petit script fort pratique.
– J’ai vu comment monter le swap (dans /etc/fstab)
– Je suis parvenu à installer simultanément sur le PC internet KDE, GNOME3 et MATE (je n’y parvenais plus sur celui du Bottin). Mais visiblement – pour l’instant KDE ne fait pas bon ménage avec ses congénères, à cause de conflits avec DBUS. Ce n’est donc pas une idée géniale de les installer tous ensemble pour l’instant (çà s’améliorera vraisemblablement par la suite). Pour l’instant ma préférence se porte encore à MATE (après, les goûts et les couleurs …).
– J’ai découvert quelques outils, dont : l’outil de recherche de fichiers de MATE, et qu’il est intéressant de le lancer en root pour le déboguage ($ gksu mate-search-tool) afin qu’il puisse rechercher dans les répertoires systèmes. Dommage qu’il ne soit pas encore intégré à Caja. Autre outil – re-découvert celui-là, le « visionneur des journaux système » ($ mate-system-log), que j’ai là aussi intégré dans le menu de Gnome-Pie pour l’avoir rapidement sous la main.
– J’ai – au moins pour un temps, économisé une nouvelle carte graphique. Je croyais que l’affichage dégueulasse de l’écran (tout l’affichage du côté droit de l’écran « bavait » sur 10 cm vers la droite) du PC internet était dû à la dégradation / mauvaise qualité de sa carte graphique. Mais en upgradant le pilote proprio nvidia et le reste du système, j’ai retrouvé un PC performant (même si çà reste un Dual-Core avec une petite carte graphique bon marché), rapide (seul le démarrage est lent car en ext3 sans SSD), avec un affichage nickel.
2. J’aurais aussi eut la grande satisfaction de réussir à résoudre un certain nombre de difficultés techniques (à ne pas négliger, pour tous, sans doute le meilleur des moteurs de motivation).
J’espère que ce texte pourra être utile à quelques novices (qui auront trouvé le courage et le temps d’en parcourir le texte :) ).
Par contre j’ai toujours du mal à faire court, désolé :)
Vous voyez, c’est pas si mal, l’opération est dans l’ensemble assez positive – au moins pour moi.
J’ai failli oublier : un grand merci à tous les développeurs Linux et Debian pour leur sacré boulot de qualité !
Et … Merci Youtube.
Grâce à toi j’ai amélioré ma connaissance de Linux :)
PS :
Le 22 février une nouvelle version de LightDM est sortie dans les dépôts Debian (1.16.7-1 vs 1.16.6-1). A présent dans le Centre de Contrôle de MATE lorsque l’on clique sur l’icône « LightDM GTK+ Paramètres d’Apparence » une boîte de dialogue apparaît – invitant à la saisie du mot de passe de l’utilisateur, et donnant ainsi l’accès au paramétrage bien plus aisé de cet outil.
Un grand merci aux développeurs de Debian et LightDM !